dimanche 30 novembre 2008

Lectures bloggesques (de la semaine 48-2008)


Bonjour aux Ra7or boys
Bonjour Lily
Bonjour aux zotres


Quand les Ra7or boys sont plus mâles que nature !

Ces jours derniers, nous évoquions ici même certaines différences noir(e)/blanc(he) et par ricochet H/F. L'une d'elle, à mon sens concerne la façon d'arriver à ses fins dans une situation donnée. Prenons l'exemple d'une rupture : une femme dira en pleurant "c'est fini, je ne t'aime plus, c'est dur pour moi aussi tu sais". Un homme fera + ou - (enfin, - j'espère !) ce qui est décrit chez les Ra7or boys dans ce pseudo manuel de rupture dégueue en 10 étapes.

Ca a choqué certain(e)s lecteurs/trices au premier degré mais pour moi c'est un énorme éclat de rire. Je me permets toutefois quelques remarques :
A propos du n°1 : ah ? moi je crois qu’un mec ne rappelait par définition jamais…
A propos du point n°2 : encore faudrait-il qu’il existe sur cette planète un mec hétéro assez féminin pour se souvenir des noms des parfums qu’on aime ou pas…
Les points 3 et 7 contredisent le postulat “tout cela sans efforts” du point 6 (idem pour le point 10 qui laisse tout de même une lueur d’espoir).

Quand Lily prend la pause

Je ne connaissais pas ce pastel de Drian avant de le découvrir chez Lily. J'ai admi-doré. Comme je ne connaissais pas cet artiste j'ai tapé son nom sur Google et j'ai notamment trouvé ceci sur Universalis :


Dessinateur, graveur et décorateur, Drian est l'interprète talentueux de la mode Art déco dans ce qu'elle a de nerveux, d'éphémère. Venu à Paris vers 1898, Drian s'oriente bientôt vers l'illustration ; ses compositions, publiées dans L'Art et la mode, sont d'un style élaboré mais encore bien conventionnel. La description des robes et de leurs falbalas gomme la présence anatomique, et les femmes qu'il représente ressemblent à des poupées ou à des idoles sans personnalité, d'une beauté banale, sans réalité physique. Après quelques années de ces travaux assez fades et répétitifs, Drian accentue le caractère convulsif et crispé de son trait et, sans renoncer à l'illustration commerciale, parvient à élaborer un style dont la virtuosité, l'artifice acquièrent une séduction singulière. C'est autour de 1912 qu'il parvient à la maturité, et ses illustrations de mode pour la Vie heureuse et pour d'autres revues montrent des femmes frêles, revêtues de robes dont il évoque délicatement la texture, les froissements, le vaporeux. Ces femmes d'une incontestable élégance adoptent des poses contournées en contraposto, d'une sophistication inégalée.Drian parvient magistralement à restituer les attitudes en suspens, à esquisser un geste, à donner le sens de l'éphémère.(...)


Petite phrase du moment


Un statut facebook raconte (et moi je crie vive Paris) : XXX vous informe : "le charcutier de la place Léon Blum a été Médaille d'or lors de la Coupe de France du Fromage de tête - ça c'est Paris !"

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