dimanche 5 juillet 2009

Lectures bloggesques (de la semaine 27-2009)

Bonjour Keisha
Bonjour Emma
Bonjour Orchidée
Bonjour aux rats de bibliothèque
Bonjour aux zotres


Ma sélection bloggesque de cette semaine ressemble un peu à une ménagerie littéraire !


Quand Keisha s'enfonce dans le Bush
Keisha évoque un recueil de nouvelles d'un certain Kenneth Cook et intitulé "Le Koala tueur" (rien que ça, ça me laisse songeuse) paru chez Autrement (gage de qualité), se déroulant dans le bush autralien (gage de dépaysement bienvenu en cette période estivale) et ayant pour zhéros des zanimox locaux (dont un cochon sauvage !). Il paraît que c'est drôle et que ça se lit vite. Serait-ce le livre idéal à emporter dans son sac de plage ou pour sa pause randonée ?


Quand un chat séduit même des rats
Après le koala tueur, le Journal d'un chat assassin s'imposait ! Je vous parlerai demain en détail de Tuffy, le héros félin d'Anne Fine mais voici une délicieuse mise en bouche à propos de ses savoureuses aventures assassines à déguster de 7 à 77 ans !


Quand un rat dévore des bouquins
Emma et Orchidée n'ont pas vraiment accroché mais paradoxalement ce qu'elles disent à propos de Firmin, le livre de Sam Savage sous-titré "Autobiographie d'un grignoteur de livres" me fait saliver.


Petites phrases (très cochonnes) du moment
Trouvées sur Evene

Le cochon n'est devenu sale que par suite de ses fréquentations avec l'homme. A l'état sauvage, c'est un animal très propre. Pierre Loti
Quel animal admirable que le cochon ! Il ne lui manque que de savoir faire lui-même son boudin. Jules Renard
Le chenille devient papillon, le cochon devient saucisson, c'est une grande loi de la nature. François Cavanna
Penser qu'on ne sait pas le nom du premier cochon qui a trouvé une truffe ! Edmond et Jules de Goncourt
Marie-toi et tu seras heureux une semaine ; tue un cochon et tu seras heureux un mois ; fais-toi curé et tu seras heureux toute ta vie. Proverbe polonais

2 commentaires:

mazel a dit…

pour Firmin, lecture commencée hier soir...

"Dans les premiers temps, mon apétit était primitif, orgiaque, imprécis, goinfre - une bouchée de Flaubert ou une bouche de Faulkner, je ne faisais pas la différence-..."

"jai tout d'abord remarqué que chaque livre avait son goût propre - sucré, aigre, amer, aigre-doux, rance, salé, acide."

Cynthia a dit…

J'ai justement "Firmin" sous le coude, je vais pouvoir commenter "en temps réel" ;)