Lectures blogesques (de la semaine 35-2009)

Bonjour Elisabeth
Bonjour Mo
Bonjour Mister Fond du Tiroir
Bonjour Magda
Bonjour Karine
Bonjour Armande
Bonjour GCS
Bonjour Mry


Quand Aubade séduit encore et toujours
Sur son blog , Mry annonce l'opération de communication lancée par Aubade à l'occasion de sa 100e leçon de séduction. Personnellement mes préférées sont les 3 qui illustrent ce message.


Quand quelqu'un ose répondre à un spam
Vous avez tou(te)s reçu au moins une fois un message vous annonçant qu'une personne sur le point de décéder d'une mort atroce et sans héritier(e)s avait décidé de vous léguer une somme avec plein de zéros derrière ! C'est évidemment trop beau pour être vrai et je me demande s'il existe encore des gogos pour se faire avoir par ce genre de spam idiot. L'éditeur du Fond du Tiroir a eu l'idée de répondre à un de ces messages et, surprise, il a reçu une réponse... C'est surtout la lettre qu'il a envoyé ensuite qui est drôle.


Quand Mo analyse le post-Harlequinisme
Les plus observateurs/trices d'entre vous auront constaté une vague de lectures idiotes plus contagieuses que la grippe A dans le cadre du challenge Harlequin donnant lieu sur la blogosphère à des compte-rendus de lecture souvent très drôles. Celui de Mo (ici) est formidablement construit et surtout particulièrement hilarant.


Quand une idée créative ne manque pas de piquants !!!
A celles et ceux qui se demandent ce que la blogosphère va bien pouvoir faire de cette pléthore d'âneries Harlequin une fois lues, Armande offre une réponse très sympa à découvrir ici. Ca me donnerait (presque) envie de succomber au challenge !!!


Quand on constate objectivement que finalement on n'achète pas tant de livres que ça
Karine ne manque pas d'arguments tous plus sensés les uns que les zotres pour nous démontrer que, finalement, on n'achète pas tant de livres que ça et que, tout compte fait, ce n'est pas toujours notre faute si nos piles de livres à lire grossissent. Elle a teeeeellement raison et sa logique est telllllllement imparable que bon nombre de personnes ont ajouté leur grain de sel en commentaire (dont moi). Il en résulte une liste hilarante (actuellement en 29 points) de "livres qui ne comptent pas".


Quand les punitions des un(e)s sont les délices des zotres
Ce billet de Magda est à la fois drôle et dramatique. Ca se passe en Turquie et c'est hallucinant au point que j'imagine déjà que quelques lecteurs/trices compulsifs/ves vont demander l'asile livresque à Ankara. Hélas on ne sait pas ce qui se passe si on s’endort en lisant. On lit 10 pages de plus le lendemain ?
Tout cela me rappelle qu’une de mes institutrices d’école primaire n’avait rien trouvé de mieux comme punition de faire apprendre 3 vers de Perette et le pot au lait à chaque écart (réel ou supposé). Oui, de la poésie considérée comme punition !!! C’est con comme un balai et ça en dit long sur la bêtise crasse et le manque de pédagogie de cette bigotte bornée et aigrie. Quand je pense qu’au début du XXe on offrait aux bons élèves des livres de prix en récompense !!!


Quand GCS a un droit de réponse
Il y a quelques jours, je parlais ici-même de la prestation remarquée (faute d'être remarquable) de Gilles Cohen Solal dans l'émission Strip Tease. Il a récemment répondu à une interview sur le blog d'Elisabeth Robert.
Plutôt intéressant dans l'ensemble mais il est étonnant qu'un homme confirmant qu'il n'avait jamais oublié les caméra admette ensuite que s'il avait vu le montage il n'aurait pas laissé passer certaines déclarations : il suffisait de s'abstenir de les faire tout en se sachant filmé. Dans la même veine paradoxale, pourquoi recopier un commentaire qu'il dit ne pas vouloir laisser passer ? Pourquoi lui donner une plus grande visibilité au lieu de demander à ce qu'il soit supprimé ?

Carrefour des nostalgies (d'Antoine Laurain)

Bonjour Antoine
Bonjour à celles et ceux qui, comme moi, s'étaient enthousiasmé(e)s à la lecture de Fume et tue
Bonjour les zotres

Le 3e roman d'Antoine Laurain est ENFIN paru et je le remercie chaleureusement de me l'avoir envoyé.

Hommage bowesque ici

Le sujet

François Heurtevent était maire d'une ville de province et il vient de perdre les élections. Alors forcément il déprime et se sent désoeuvré. Il s'isole dans un appartement ayant appartenu à son mentor en politique et dans lequel il n'a pas remis les pieds depuis environ 25 ans. Il se penche alors sur son passé et plus exactement sur une photo de classe de lycée. Au cours des quelques semaines suivantes, il retrouve certains des élèves qui y figurent.

Mon avis

Je ne sais pas pour vous, mais moi, parmi toutes les choses que j'aime, il y a les adverbes, les digressions (d'où les parenthèses et inversement), les métaphores, les coquilles saint Jacques et, à la réflexion, les énumérations.

Mais voilà, même si les coquilles saint Jacques sont l'aliment que je préfère entre tous, cela ne m'empêche pas aussi d'aimer plein d'autres choses (mais un peu moins) et je n'en cuisine évidemment pas tous les jours ! Si je vous sers cette métaphore maintenant c'est parce que l'an dernier j'ai adoré quasiment d'idolâtrie Fume et Tue (bon, disons plus simplement que j'en ai parlé avec autant de passion que de sincérité et que je l'ai offert plein de fois autour de moi tant mon enthousiasme était grand) et que, forcément, l'attente envers Carrefour des nostalgies était exigente et la tentation de comparer le nouveau roman d'Antoine Laurain (le 3e) avec le précédent était quasi inévitable et forcément porteuse de déceptions potentielles comme ce fut le cas pour l'écoute de Let's dance après celle de Heroes ce qui ne m'empêche pas d'aimer ces deux chansons, de m'être cassé la voix en chantant l'une et l'autre et d'adorer Bowie, tout Bowie.

Je ne prends pas ce dernier exemple au hasard car dans son roman, Antoine Laurain évoque justement Heroes (P.177), ma chanson culte, et c'est sans doute une des choses que j'aime chez lui : cette façon d'émailler ses récits d'anecdotes et références culturelles habilement placées et sans lourdeur (contrairement à Jean Teulé par exemple). Cela va des assiettes à la girafe chères aux amateurs/trices de porcelaine ancienne à Biologie des passions de Jean-Daniel Vincent dont je parlais ici-même avec enthousiasme la veille de lire la page 212 de Carrefour des nostalgies en passant par le louchebem (que je parle) et moult évocations qui me parlent également, qui font écho à ma propre culture sans doute nettement moins étendue et assurément moins profonde que celle de l'auteur. J'ai retrouvé cette forme de connivence intellectuelle dans chacun des livres de Laurain et c'est sans doute une des raisons que me fait les aimer : ils flattent vaguement mon égo et j'ai l'impression de savoir moi aussi vachement trop plein de trucs méga intéressants en les lisant.

Mais ce n'est pas la seule raison. J'aime l'écriture fluide, ciselée, élégante (mais sans préciosité) d'Antoine Laurain et, avec Serge Joncour, c'est sans doute l'auteur actuel dont je préfère le style. Je mets volontairement Philippe Jaenada et Annie Ernaux à part tant je trouve qu'ils ont chacun plus qu'une plume qui me plait : ils ont créé un style particulier et parfaitement reconnaissable.

Vous l'aurez compris, j'ai aimé les 300 pages de Carrefour des nostalgies et il ne m'aura fallu que deux jours pour en venir à bout mais je l'ai aimé comme j'ai aimé Ailleurs si j'y suis le premier roman de Laurain, avec quelques réserves. Alors qu'est-ce que je lui reproche en dehors de n'être pas Fume et tue ?

Tout d'abord un démarrage trop lent. L'auteur campe le décor pendant près du tiers du livre. Cette première partie n'est certes pas sans intérêt et le portrait que l'auteur brosse du paysage politique est même plutôt réjouissant mais il n'est pas nécessaire à l'intrigue qui se déroule ensuite sur un mode particulièrement linéaire qui laisse finalement peu de place au suspens (on n'est certes pas dans un polar mais quand même !) et énormément à des hasards énooooormes voire pour le moins capillotractés (on se croirait parfois en pleine recherche d'indices dans un épisode des Experts) pour lesquels l'auteur se donne lui-même l'absolution non pas dans le confessionnel où son héros pénètre pourtant mais lors d'une séance de divination où, miracle, il tire à diverses reprises la carte signifiant le hasard ! Comme c'est pratique !

Oui, bien sûr, les hasards existent dans la vie mais on en parle toujours au passé, on s'y réfère en toute connaissance des tenants et des aboutissants et on les raconte a posteriori, non pas pour les conclusions elles-même qui sont connues de l'auditoire mais pour le cheminement qui y conduit. J'aurais trouvé nettement plus subtil et intéressant que le narrateur nous explique d'emblée "voilà ce que j'ai découvert et comment" comme dans n'importe quel épisode de Columbo (on sait d'emblée qui est l'assassin, tout l'intérêt résidant ensuite non dans la réponse à la question "qui" mais dans la résolution du "comment je le sais"). Parce que, dans les faits, on devine assez vite certains des ressorts de l'intrigue, on les voit arriver gros comme des camions de pompiers sirène hurlante et, à mon avis, l'intérêt du livre ne réside pas là. Le narrateur lui-même porte finalement peu d'intérêt (voire aucun !) à certaines des révélations et découvertes pourtant énormes et bouleversantes auxquelles il est confronté. Alors on n'y croit pas et pire peut-être, on s'en fout un peu de ne pas y croire.

Vous allez dire que je fais une fixation mais tant pis, j'assume, l'auteur avait parfaitement réussi un brillant exercice de construction non chronologique dans Fume et tue et cela lui permettait une approche plus analytique qui donnait une dimension tout autre à ses personnages et à leurs agissements dont le hasard n'était pas non plus exempt.

Carrefour des nostalgies manque un peu de profondeur à l'image de ces rencontres que le narrateur organise à la chaîne avec ses anciens camarades de classe auxquels on ne s'attache pas plus que lui (pourquoi eux ? pourquoi cette classe précise (le hasard, bien sûr...) dont il ne semble d'ailleurs pas conserver un souvenir impérisable) sans autre finalité que ces moments de retrouvailles et sans aucune volonté de relations durables.

Subsiste une question qui me titille les méninges depuis fin août : Antoine Laurain n'a-t-il pas finalement écrit une 3e variante d'une même histoire, celle d'un bourgeois quinquagénaire (ce que l'auteur n'est pas – encore ?), marié, cultivé, aimant la bonne chair et les antiquités, dont la vie jusqu'ici parfait exemple d'équilibre et de réussite prend soudain un tournant inattendu et plus ou moins insolite suite à un grain de sable et qui navigue ensuite entre lâcher-prise et reprise en main. N'a-t-il pas une fois de plus tourné autour des mêmes questions sur l'identité et la dépendance, sur notre aptitude ou non à provoquer ou au contraire à subir les changements qui interviennent dans nos vies ?

Quelques extraits

J'aime bien cette métaphore supposée adressée à Chirac après sa défaite de 1988
Tu verras tu y arriveras. La prochaine fois probablement. Tu y arriveras comme y arrivent ces filles très chouettes que l'on trouve très sympathiques, mais avec qui on n'a pas envie de passer la nuit. Il vient un soir où l'on se sent seul et on baise avec elles, parfois c'est une révélation. Tu seras peut-être une révélation pour la France, le jour où elle aura envie de baiser avec toi... Attends cette nuit-là. (P.25)

A propos d'annonces immobilières haut de gamme
Il était impossible que tous ces gens vendent dans la joie et le profit. Quelque chose de plus sombre flottait au-dessus de chaque annonce, une grande dépression financière qui amenait les classes moyennes aisées à se séparer de leur appartement, de leur maison, du lieu qui avait été le leur pendant peut-être plusieurs générations. Ils effectuaient ces transactions à la manière du homard qui abandonne sa pince en combat sous-marin pour préserver sa vie. La pince repousserait, elle mettrait longtemps et serait plus petite, mais c'était bien ça dont il s'agissait, d'un sacrifice. (P.100)

En retrouvant un ami de longue date. J'adore cette forme d'humour décalé
- Quelles sont les nouvelles ? lui demandai-je après un silence.
- La chienne est pleine, me répondit-il comme s'il s'agissait d'une fatalité.
Il me sembla que toutes les dernières fois où j'avais croisé Armand, il m'avait annoncé la naissance prochaine de chiots, que lui et sa femme ne pouvaient d'ailleurs jamais garder. Ils les distribuaient autour d'eux.
- C'est vrai remarqua-t-il, elle doit calculer ses rapports sexuels en fonction de nos rendez-vous.
L'idée semblait l'intriguer et il paraissait à deux doigts d'y croire un peu. (P.120)

Quelques liens

Ma critique de Ailleurs si j'y suis
Ma critique de Fume et tue
Carrefour des nostalgie : critique élogieuse chez Daniel (avec liens vers d'autres critiques), plus nuancée chez Papillon (j'acquiesse sur pas mal de points) et assez factuelle chez Amanda (avec plein de liens aussi)
Infos sur le site des Editions Le Passage.

Conclusion

Ma lecture fut agréable et légère comme certains vins que l'on a plaisir à boire frais l'été mais Carrefour des nostalgies n'est pas un Romanée Conti et ce roman ne me marquera pas durablement. J'attends le 4e roman de Laurain et d'ici là, je continue à dire, écrire, répéter tout le bien que je pense de son écriture en général et de Fume et tue en particulier que j'ai dégusté comme un Pétrus. J'encourage tout le monde à lire ce livre RE-MAR-QUA-BLEUHHH (et je pèse mes mots).

Le 5 dernières réponses (au jeu idiot d'aout)

Bonjour aux participant(e)s
Bonjour aux zotres

Il ne reste plus que 3 logos à trouver : comme c'est le dernier jour du mois aujourd'hui, fin du suspens, si quelqu'un(e) les a reconnus, qu'il/elle les donne tous. Je tirerai le/la gagnante au sort dans les jours qui viennent.






Le R de Walgreens a été trouvé par Naomi






Le D de Glad a été trouvé par Christophe









Point sur les points

Yvan, Vincent et Faustine ont un point
M., Hathaway, Cynthia, ont deux points
Daniel a trois points
Naomi a quatre points
Christophe a cinq points

Heroes (Spéciale dédicace à Antoine Laurain)

Bonjour à celles et ceux qui s'embrassent

Bonjour aux Heroes just for one day
Bonjour aux zotres

Fin 2007, j'avais placé Heroes dans le tiercé de tête de mon top 10 Bowesque, et le lendemain, quand j'ai élu mon album préféré et ma chanson culte à faire écouter à des martien(ne)s, j'avais précisé mon choix de la veille en élisant Heroes.

Dans Carrefour des nostalgies, son 3e roman dont ma critique sera en ligne lundi, Antoine Laurain parle de plein de choses (la preuve en images sur son blog) et notamment de cette chanson culte et déchirante (Antoine, il manque la pochette de l'album dans ton album photo !). Ce qu'il en dit recoupe partiellement ce que raconte Wikipedia.

Même si on ne comprend pas un mot de ce qu'elle raconte, il est impossible de ne pas ressentir toute l'émotion et la dimension tragique de cette chanson qui date de 1977 et n'a pas pris une ride en 32 ans (comme moi quoi !). David Bowie est un musicien génial et un immense interprète.



Autre version issue du Bill Crosby Show



Je trouve qu'elle fonctionne aussi très bien en allemand. La petite faiblesse de cette version réside à mon avis dans une présence trop appuyée des choeurs qu'on ressent moins dans la V.O. et qui, selon moi toujours, est le seul élément un brin daté de la chanson.

Doute levé (oui... mais non...)

Bonjour aux brillant(e)s participant(e)s
Bonjour aux zotres

5 logos restant à trouver

Lettres D - F - M - O - R
Les voir ici

Logos trouvés depuis le dernier bilan

E de Zales
Trouve par Naomi
Diamonds are a girl s best friend



J de Jif
Trouve par un Christophe tres gourmand de points










W de Mountain Dew
Trouve par Daniel qui a soif de victoire



Bilan sur les points

Yvan, Vincent et Faustine ont un point
M., Hathaway, Cynthia, ont deux points
Naomi, Daniel ont trois points
Christophe a quatre points

Point sur le A

Après mûre réfléxion, concertation avec moi-même, scrutation appuyée, observation intense, j'ai finalement décidé de ne pas accepter Axair pour cause "d'angle non conforme". Désolée Daniel mais le A recherché a les jambes plus écartées que le tien. La réponse Saturn proposée par de Christophe il y a quelques heures est assurément la bonne.

A et U et Q (trouvés)

Bonjour aux 3 Sherlock Holmès
Bonjour aux zotres

Bonnes réponses trouvées précédemment et lettres restantes ici

Trouvé par Christophe, le A de Saturn mais je pense que je vais aussi accepter la réponse que Daniel m'a donnée en privé car le A semble vraiment identique.

18 logos trouvées



Trouvé par Mister M. le U de Blockbuster qui est une boite qui fait de la video






Quant au logo Dairy Queen, il a changé depuis la version retenue par le jeu. C'est bien le vieux Q (si j'ose dire) qui était à trouver et c'est Yvan qui l'a fait !


8 Lettres restantes
D - E - F - J - M - O - R - W
J'ai donné 3 indices à Cynthia qui avait proposé "R comme Knorr"
Pour trouver le O penser à la lettre suivante
Le R se trouve (presque) à tous les coins de rue aux USA
Ni le O ni le R ne sont des initiales

Bilan sur les points
Yvan, Vincent et Faustine ont un point
M., Noami, Hathaway, Cynthia, Daniel ont deux points
Christophe a trois points

Evolution (ou pas)

Bonjour à celles et ceux qui ne remettent pas en cause la théorie de l'évolution
Bonjour aux zotres

J'adore la photo ci-contre (trouvée ici) qui constitue une variante intéressante aux multiples détournements humoristiques du sujet de l'évolution de l'être humain.

On ne peut toutefois nier que celle-ci est plus réaliste...

Source ici
Comme il se doit, la femme s'en sort plutôt mieux...

Coquilles Saint Jacques (au chutney aux trois agrumes coco gingembre)

Bonjour aux gaga du salé sucré
Bonjour aux saintjacquovores
Bonjour aux zotres

Cette recette est née suite à l'acquisition d'un pot de chutney aux trois agrumes coco gingembre Favols que j'ai d'emblée trouvé alléchant lorsque je l'ai vu au rayon alimentaire de mon Monoprix préféré mais dont je me demandais bien ce que j'allais pouvoir en faire. Quelques jours plus tard, une soudaine envie de coquilles Saint Jacques m'a donné le déclic.

Ingrédients
- Noix de coquilles Saint Jacques (fraîches ou surgelées)
- Jeunes asperges vertes (fraîches ou surgelées)
- Champignons de Paris (frais ou surgelées)
- Chutney aux trois agrumes (Favols)
- Petits piments ou sauce pimentée (tabasco)

Recette
Placer dans une poêle ou un wok les noix de Saint Jacques, les asperges, les champignons de Paris ensemble ou au fur et à mesure selon que les ingrédients sont frais ou surgelés et les faire cuire à feux doux le temps nécessaire sans matière grasse ni sel en ajoutant, en cours de cuisson, une cuillère à café de chutney et quelques gouttes de sauce pimentée. Gouter et rectifier le dosage en chutney et piment si nécessaire.

Mon avis
ce qui est génial avec cette recette c'est qu'elle :
- est simplicissime et facilement adaptable au contenu d'un frigo,
- ne nécessite aucune pesée des ingrédients (dosage à l'oeil et au goût),
- est rapide à exécuter,
- est peu calorique, originale et savoureuse,
- peut se servir chaude en plat ou froide en salade (on peut alors y ajouter des dés d'avocat et/ou des quartiers de pamplemousse rose pelés à vif, des crevettes, etc.).

J'ai récidivé récemment avec des pétoncles et quelques variantes issues de mon frigo.

Ingrédients
- Petites pétoncles
- Grosses crevettes roses décortiquées
- Champignons de Paris
- Mélange de légumes verts Franprix conditionné en 3 sachets individuels (courgettes, petits pois, brocolis et pois gourmands)
- Crème liquide allégée
- Feuilles de coriandre
- Chutney aux trois agrumes (Favols)
- Petits piments ou sauce pimentée (tabasco)

Recette
Le principe est le même, on fait cuire tous les ingrédients et l'on termine par un trait de crème et par les herbes et condiments en évitant d'en mettre trop tant il est vrai qu'il est facile d'ajouter un trait de ceci ou cela mais difficile de diminuer un excès.

Mon avis
Là encore, c'est délicieux mais lorsque je referai cette recette je n'ajouterai pas de coriandre. Même si le goût de cette herbe et du chutney se marient plutôt bien, la présence de l'une masque un peu trop le goût acidulé et sucré de la sauce qui est pourtant l'ingrédient de base de la recette. Là encore, plein de déclinaisons et d'ajouts sont possibles et la recette est adaptable sous forme de salade (sans crème liquide dans ce cas).

Le doute plane (sur deux lettres du jeu idiot d'août)

Bonjour à celles et ceux qui cherchent
Bonjour aux zotres

Mister M. pense que le R est celui de Coors ce à quoi Daniel répond non, non, non et après réflexion je suis à nouveau d'accord avec lui. Le R que l'on cherche est très ressemblant mais moins fin et plus droit.

Il reste 10 à 11 logos à trouver

Le A n'est pas celui de Samsung. Daniel vient de me donner en privé une autre réponse qui s'avère être la bonne. Il peut la poster des maintenant et cela ne lui vaudra pas de point (mais d'un autre côté il ne risque pas de se faire piquer le point en question par un autre) ou attendre minuit et gagner un point supplémentaire si personne n'a répondu avant lui... Tout un arbitrage à faire...Qui est fort en statistiques et en proba ?

Que celles et ceux qui avaient remarqué la différence sur le Y de Lay's se rassurent, le logo qui illustre le message précédent est l'ancien logo et voici le nouveau. Lay's est la bonne réponse.

Point sur le jeu idiot d'août (après une journée de cogitations)

Bonjour aux 8 personnes qui ont déjà trouvé des bonnes réponses et à celles qui ont participé sans succès
Bonjour aux zotres


Encore 10 logos à retrouver

Soyez perspicaces et n'hésitez pas à utiliser Google Images et autres sources d'inspiration.










Petite aide : toutes ces lettres ne sont pas forcément les initiales des logos recherchés. Merci de respecter la consigne d'une seule bonne réponse par personne par jour. Si vous avez plusieurs idées attendez le lendemain pour rejouer.
Les 26 lettres dans le cadre initial du questionnaire ici
Les règles complètes du jeu ici


Gros doute sur le A

A de Samsung
Téléphoné par Vincent






J'ai soudain un doute concernant l'angle du A et le fait que je n'ai jamais trouvé ce logo en noir. D'autres idées ?


15 lettres trouvées depuis le début du jeu (hier)

B de Brother - Trouvé par frère Daniel





C de Canon - Trouvé par Christophe (qui n'est pas un boulet)






G de Lego
C'était un jeu d'enfant pour Cynthia








H de Yahoo
Trouvé sans moteur de recherche par Vincent






I de Bic - Cité par Naomi (qui ne trouve pas ce jeu rasoir)





K de Burger King
Trouvé par la reine Naomi






L de Google
Googlisé par Cynthia







N de Nasa - Mis sur orbite par Daniel







P de UPS
Posté en express par Hathaway









S de Sony
Reçu 5 sur 5 Faustine







T de Citibank - A mettre sur le compte d'Hathaway





V de Volvo
Trouvé sur des chapeaux de roue par M.





X de Twix
Je suppose que d'autres que Faustine étaient à 2 doigt de la réponse...







Y de Lays
Faustine doit être en train de prendre l'apéro en croquant des chips




Z de Zénith
Christophe est au top (qui en doutait !)







Comptage des points
Avant de nouvelles bonnes réponses éventuelles
M., Vincent et Faustine ont un point
Noami, Hathaway, Cynthia, Christophe, Daniel ont deux points