Bonjour Anne-Sophie
Bonjour Xia
Bonjour Emery
Bonjour les zotres
Les articles de la semaine (par trois bloggers facebookés)
Quand Anne-Sophie évoque Christian Gailly
En faisant un tour (toujours passionnant) sur La Lettrine , j'ai relu avec amusement ce qu'Anne Sophie avait écrit en septembre 2007 à propos de Foenkinos et le commentaire que j'avais laissé le 08/10/07 et j'ai été prise d'une envie subite de lire "Adieu la Chair" de Julia Kino dont elle parle (bien et en bien) le 05/08/08. Mais ce qui a surtout retenu mon attention est le passionnant message qu'elle consacre à Christian Gailly, auteur que je viens de découvrir grace au dîner livres échanges de juillet et dont j'ai beaucoup aimé le jazzy, sensible et fort bien écrit "Un soir au Club" dont j'ai parlé ici-même il y a 2 semaines. Gailly se plaint paraît-il de son manque de notoriété. C'est vrai qu'il mériterait une plus grande médiatisation tant il gagne à être connu, sur le plan littéraire en tout cas !
Quand MRY se cogne aux dures réalités de la vie
Rien de ce qu'Emery relate dans ce billet assez fort ne m'étonne, rien n'est une pure découverte mais il est parfois bon de rappeler des évidences, de s'arrêter sur la misère morale d'autrui, d'écouter, de lire, d'écrire simplement et sans sensiblerie ou affectation comme le fait ici MRY. Il n'est hélas pas rare d'entendre des ex taulards raconter leur difficulté à vivre libre et leur tentation de refaire une connerie à la première occasion pour être à nouveau enfermer comme si la taule devenait le seul lieu de vie, la seule réalité sociale possible pour ses hommes (je n'ai jamais entendu ce constat au féminin, je ne sais pas si les choses sont différentes) ce qui est plus rare en revanche, c'est de l'entendre de la bouche d'un homme qui a connu sa première expérience carcérale tardivement et qui n'a été enfermé "que" (si j'ose dire) 3 mois.
Quand Xia parle chiffon
Une des rares injustices professionnelles en faveur des femmes concerne les fringues, surtout les tenues estivales. Combien de cadres sup mâles rêvent des débardeurs à bretelles et des jupes légères de leurs collègues femelles au plus fort de la canicule ? Tous évidemment... Certains juste pour leur enlever, d'autres par jalousie (légitime) de cette liberté vestimentaire. Les choses changent lentement et certains hommes politiques taillent un costard aux cravates (de notaires) en été ce qui est loin d'être idiot.
Je ne saurais trop vous conseiller de ne surtout pas oublier de lire les commentaires et de cliquer sur le lien en direction de la chemisette de Brad Pitt (moi aussi je me mets à rêver d'arrachage)... et puis non, je ne résiste pas à rapatrier la photo ici ! Et comme j'ai écrit chez Xia, Brad Pitt, même dans un sac à patates il serait sexy... (soupirs, regard fixe, tocs nerveux, bouche ouverte, langue pendante, bave, etc.).
Les petites phrases de la semaine
Un psy, Miguel Benassayag explique même que "le portable favorise une promiscuité transgressive. Il fait disparaître toute inhibition et encourage l'expression immédiate de décharges pulsionnelles". (Plus jamais seul, éd Bayard). Chez MRY
"C’est l’avantage d’écrire, personne ne détourne la tête, personne ne hausse les épaules, personne ne s’en va. Il n’y a que la magnifique solitude, la blancheur qui peu à peu se charge de lettres et de mots bien que parfois la page dise non, se rebiffe, refuse."
Issu d'un extrait du roman "Le théorème d'Almodovar" d'Antonio Casas Ros cité sur My Lou Book (la critique de Lou donne, je trouve, très envie de lire le livre).
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