Bonjour aux magicien(ne)s
Bonjour aux assistant(e)s
Bonjour aux lapins, colombes, tigres et autres accessoires vivants
Bonjour aux zotres
Océane a lancé récemment un concours dans lequel elle demandait ce qu'évoquait pour nous le mot magie. Comme il se doit, je me suis lancée dans une réponse en 9 points et sans trucages.
1 – Père Noël
Si je devais garder un seul souvenir, une seule association d’idée me venant à l’esprit à l’évocation du mot magie ce serait le mystère du passage du Père Noël. Chaque année, la magie se renouvelait : à un instant T du réveillon, on jetait un coup d’œil dans le salon et il n’y avait rien au pied du sapin et à un moment T+1, comme par magie, les cadeaux étaient arrivés. Le Père Noël était passé pendant que nous dînions dans la salle à manger voisine et personne n’avait rien vu (jusque là, logique, la porte de communication entre les deux pièces étant fermée) ni rien entendu ! (ce qui est déjà plus balaize en considérant la question du passage d’un vieillard ventru muni d’une hôte sur le dos via le conduit d’une cheminée d’une maison de 3 étages). Magique vous dis-je.
Bizarrement (ou pas) les paquets arrivaient systématiquement peu de temps après que mon père soit allé chercher une bouteille de vin à la cave et, en gros, si nous avions surpris le Père Noël, il aurait le seul à rater l’événement. Mais bon comme ce n’est jamais arrivé de toute façon…
2 – Harry Potter
Magique, les Harry Potter le sont à plus d’un titre (voire à plus des 7 titres qui composent la série). Ces romans sont magiques par l’histoire de leur auteure pauvre qui écrivait au café du coin en hiver parce qu’elle était trop fauchée pour chauffer son appartement et qui est devenue une des femmes les plus riches d’Angleterre voire du monde, (une légende urbaine savamment marketée selon certain(e)s, je ne sais pas), magique par les personnages et l’univers bien sûr, magique par l’engouement suscité par ces livres, magique par les ventes record, magique parce que ddes millions d’enfants récalcitrants à ouvrir un bouquin se sont mis à avaler des pavés de plus de 500 pages, magique par la qualité globale de l’ensemble sur le fond comme sur la forme qui en a fait une œuvre trans-générationnelle.
Qu’on aime ou pas, qu’on le veuille ou non, en littérature enfantine (voire en littérature tout court), il y a un avant et un après Harry Potter.
3 – Mandrake
Si tout le monde connait HP, qui se souvient de Mandrake le magicien ? BD Comic US peu ou prou du même tonneau et sans doute de la même époque que Guy l’Eclair et que la tripotée de super héros Marvel. J’ai découvert ses aventures dans le Journal de Mickey auquel j’ai été abonnée plusieurs années puis j’ai recherché les albums intégraux à la bibliothèque de mon quartier.
J’adorai Mandrake pour l’univers fantastico-policière de la série, pour l’élégance des personnages (Mandrake ne se téléportait jamais sans son haut de forme et sa cape doublée de rouge) et bien sûr, pour le côté spectaculaire des tours de magie qu’il réalisait (David Coperfield peut se rhabiller).
4 – Un souvenir gai d’enfance face à un spectacle pour tous
En tant qu’enfant, j’ai un souvenir marquant (assorti d’un fou rire) lié à un spectacle de magie foireux dans un terrain de camping. Le magicien s’évertuait à hypnotiser un ado facétieux assis sur un fauteuil… Comme visiblement ça ne marchait pas du tout, le magicien tentait d’immobiliser l’ado dont la position devenait de plus en plus horizontal tant l’hypnotiseur du dimanche (et du camping), quasiment assis sur lui, exerçait une pression physique faute d’exercer la moindre influence mentale.
Je garde l’image précise de la scène gravée dans ma mémoire. Il était chaussé de tongs et jouait avec, battait des pieds dans le dos du magicien pour bien montrer à la foule à quel point il était éveillé malgré les dénégations pathétiques du magicien. On ne pouvait pas non plus ne pas voir les efforts désespérés de l’ado pour contenir son fou rire et ceux du magicien pour l’empêcher de bouger sous les yeux navrés de son assistante qui, elle, suivait la danse des tongs et à qui le ridicule du numéro foireux n’échappait pas.
5 – Un souvenir triste d’adulte face à un spectacle pour enfants
Dans une minuscule salle du centre de Paris, un magicien sur le retour, sans doute un peu aigri, proposait sans entrain un spectacle convenu devant un (très) jeune public (heureusement) conquis d'avance. Par ses compétences relatives et, surtout, par sa perceptible mauvaise volonté, il a cependant réussi à installer un malaise et il était palpable que les gosses eux mêmes avaient envie que la mauvaise plaisanterie se termine vite.
6 – Blague sexiste
J’avoue, je me souviens très rarement des histoires drôles (ou cataloguées comme telles) et en faisant un énooooooorme effort de concentration et de mémorisation je dois arriver à 4 ou 5 devinettes et histories à tout casser : il y a celle de la bourriche d’huître envoyée à des belges, celle du cochon qui sait compter, celle des 2 potes qui passent devant Saint Pierre, celle des 4 formes de jouissance féminine (ma préférée, celle qui me vaut un franc succès auprès de mon auditoire masculin) et puis, il y a l’inévitable blague du type qui drague une fille en soirée en lui disant qu’il est magicien. Bon, tout le monde la connait, hein ? Elle est con, sexiste, mais avouez qu’elle est drôle.
7 - Croyance
Au cours de mes déplacements professionnels au Maroc, en Guinée ou au Sénégal, quelques anecdotes m’ont permis de mesurer avec étonnement l’emprise de la croyance en la magie en Afrique. Même en ville. Même auprès des jeunes. Même auprès de personnes très éduquées/diplômées. Même auprès de personnes ayant vécu voire ayant été élevées en Europe. La superstition est omniprésente (à titre personnel j’ai tendance à même la religion dans le même sac mais je vais tâcher de cloisonner pour une fois) et le marché des gris-gris est florissant.
Parfois ça se manifeste de façon ridicule et comique comme lorsqu'un jeune homme de 20 ans croit dur comme fer que les mamans marocaines sont capables par magie de "vérouiller" le sexe de leurs filles afin d'empêcher toute pénétration avant le mariage. J'ai eu connaissance de cette "pratique" (dont j'ai oublié le nom) via un magazine féminin qui l'évoquait en termes visiblement mesurés pour ménager la chèvre et le chou, ne pas déplaire à celles et ceux qui y croient, ne pas passer pour trop ringard auprès des moins crédules. L'article était illustré de moult témoignages (bizarrement) d'hommes confrontés à cette enquiquinante sorcellerie. En revanche, aucun témoignage de psychologue pour expliquer qu'un blocage apparemment physique peut avoir des causes exclusivement psychologiques et aucunement magiques. Bref.
Parfois ça se manifeste de manière nettement plus dramatique. Ainsi ai-je vu au Sénégal un reportage ahurissant consacré aux meurtres d'albinos, en tanzanie notamment. Cette pratique, encore répandue et parfois pratiquée par les pères eux-mêmes vendant leurs enfants, a pour cause une croyance selon laquelle des os d'albinos placés dans une mine permettraient de trouver un filon, dans un lac du poisson, etc. Ca fait froid dans le dos. Quelques infos édifiantes ici.
Cela dit, il n'y a pas qu'en Afrique que la crédulité pousse au ridicule ou au pire. Je me souviens de reportages de TF1 (forcément) au fin fond du trouduc de nos riantes campagnes où des retraités visiblement pas très clairs mentalement lardaient des poupées d'épingles et punaises pour se protéger de leurs voisins avec qui ils étaient en conflit depuis des lustres. Je me souviens d'un type convaincu qu'il avait été envouté et que quelqu'un lui avait placé un furet dans le ventre qui s'était introduit un ameçon lesté de viande dans l'anus afin d'attraper la bestiole. Il avait juste choppé une bonne déchirure et pas mal d'emmerdes (c'est le cas de le dire).
8 – Polémique (dévoiler les tours ou pas)
Il y eu une vague d'émissions dévoilant de spectaculaires tours de magies. Certain(e)s'indignaient, d'autres rétorquaient que ça ne priverait pas du plaisir face au spectacle et à la technique. C'est vrai (si on aime la magie) et même si j'ai regardé (en zappant) quelques révélations de tour, je ne me souviens d'aucun des trucs expliqués. Comme quoi...
9 – Coup de foudre
On parle souvent de la magie d'une rencontre et une de celles que j'ai vécues reste un mystère total pour moi qui, encore de nos jours, me laisse plus que perplexe. Je n'ai jamais été particulièrement romantique et je n'ai jamais cru au coup de foudre. Pourtant j'en ai très curieusement vécu un... à distance et par écrit ! Sur un site de rencontre, un homme m'avait écrit 2 ou 3 lignes assez banales qui m'ont pourtant fait ressentir physiquement un choc en pleine poitrine. En cliquant sur son profil pour lire son annonce, j'ai ressenti une 2e décharge, puis une autre face à la photo de... sa clavicule.
Nous nous sommes vus le lendemain et tout me plaisait chez lui : son physique, sa voix, son regard, son job (ben oui, ça compte), sa façon de bouger, son intelligence, sa sensibilité, sa fragilité. 7 ou 8 ans plus tard, j'ai encore son odeur dans les narines et tous les sens en éveil à la simple évocation de cet homme avec qui je suis sortie pendant environ 1 ans avant qu'il ne parte vivre en Ukraine (sans moi...).
mercredi 31 août 2011
Quelques livres (que j'apporterai au DLE de ce soir)
Bonjour à celles et ceux qui seront chez Alberto ce soir
Bonjour aux zotres
Nous serons théoriquement une dizaine au DLE de ce soir aussi ai-je décidé d'une sélection un peu plus élargie que d'habitude dont voici quelques mots à propos des 9 livres de ma sélection accompagnés de liens vers mes critiques lorsque j'en ai rédigées.
Philip Roth - Professeur de désir
Critique ici
Un bon opus de cet auteur dont les romans suscitent chez moi des réactions très tranchées allant de l'admiration sans limite à la détestation viscérale en passant l'ennui léthargique.
Benoite Groult - Ainsi soit-elle
Critique à venir
J'adore ce livre rédigé au milieu des années 70 au moment de la légalisation de l'avortement. Après avoir lu le Deuxième sexe (1949), il montre paradoxalement que beaucoup de choses ont changé mais que tant d'autres n'ont pas bougé d'un iota ! Cet essai est plus abordable que le livre de Beauvoir pour moult raison : plus contemporain, plus court, moins philosophique... et tout aussi passionnant et essentiel. Je pense vraiment que c'est un livre que toutes et tous gagneraient à lire tant il est pertinent (et actuel sur bien des points).
Didier van Cauvelaert - L'éducation d'une fée
Critique ici
J'ai lu ici et là que certain(e)s considéraient qu'il s'agit du meilleur roman de l'auteur. Mon avis est moins enthousiaste tant ma lecture fut en demi-teintes.
Dennis Lehane - Shutter Island
Critique ici
Du polar noir bien construit, bien écrit et efficace. Une lecture forte malgré l'invraisemblance totale du présupposé qui sous-tend l'ensemble du livre.
Claire Legendre - Viande
Critique fort négative ici
Je me suis régalée en évoquant ce livre... nettement moins en le lisant.
Stephen Vizinczey - Eloge des femmes mûres
Critique à venir. Livre culte dont j'attendais beaucoup plus. Sans doute trop. Ennui relatif.
Helen Hanff - 84 Charing Cross Road
Critique à venir. Livre culte dont j'attendais beaucoup plus. Sans doute trop. Ennui total.
David Foenkinos - En cas de bonheur
Après Le potentiel érotique de ma femme que beaucoup adorent (la preuve) et que je n'ai pas aimé, j'ai tenté d'ouvrir un second roman de l'auteur mais avec encore moins de succès comme je l'explique ici. Je ne doute pas que ce roman trouvera preneuse ou preneur moins réfractaire que moi.
Arto Paasilinna - Le lièvre de Vatanen
La douce empoisonneuse m'avait laissée un peu de marbre et ne m'avais pas donné envie de lire d'autres romans de cet auteur. Et puis je suis tombée par hasard sur ce roman culte proposé à 1 euro et je me suis dit "bonne occasion pour une autre tentative". Elle s'avère hélas tout sauf concluante. Je suis arrivée très lentement et très poussivement à la page 103 sur moins de 200 (gros caractères, chapitres courts) en deux fois plus de temps qu'il ne m'en a fallu pour achever les 750 pages des incorrigibles optimistes de Guenassia (éloge ici). Je viens de décider d'abandonner.
Bonjour aux zotres
Nous serons théoriquement une dizaine au DLE de ce soir aussi ai-je décidé d'une sélection un peu plus élargie que d'habitude dont voici quelques mots à propos des 9 livres de ma sélection accompagnés de liens vers mes critiques lorsque j'en ai rédigées.
Philip Roth - Professeur de désir
Critique ici
Un bon opus de cet auteur dont les romans suscitent chez moi des réactions très tranchées allant de l'admiration sans limite à la détestation viscérale en passant l'ennui léthargique.
Benoite Groult - Ainsi soit-elle
Critique à venir
J'adore ce livre rédigé au milieu des années 70 au moment de la légalisation de l'avortement. Après avoir lu le Deuxième sexe (1949), il montre paradoxalement que beaucoup de choses ont changé mais que tant d'autres n'ont pas bougé d'un iota ! Cet essai est plus abordable que le livre de Beauvoir pour moult raison : plus contemporain, plus court, moins philosophique... et tout aussi passionnant et essentiel. Je pense vraiment que c'est un livre que toutes et tous gagneraient à lire tant il est pertinent (et actuel sur bien des points).
Didier van Cauvelaert - L'éducation d'une fée
Critique ici
J'ai lu ici et là que certain(e)s considéraient qu'il s'agit du meilleur roman de l'auteur. Mon avis est moins enthousiaste tant ma lecture fut en demi-teintes.
Dennis Lehane - Shutter Island
Critique ici
Du polar noir bien construit, bien écrit et efficace. Une lecture forte malgré l'invraisemblance totale du présupposé qui sous-tend l'ensemble du livre.
Claire Legendre - Viande
Critique fort négative ici
Je me suis régalée en évoquant ce livre... nettement moins en le lisant.
Stephen Vizinczey - Eloge des femmes mûres
Critique à venir. Livre culte dont j'attendais beaucoup plus. Sans doute trop. Ennui relatif.
Helen Hanff - 84 Charing Cross Road
Critique à venir. Livre culte dont j'attendais beaucoup plus. Sans doute trop. Ennui total.
David Foenkinos - En cas de bonheur
Après Le potentiel érotique de ma femme que beaucoup adorent (la preuve) et que je n'ai pas aimé, j'ai tenté d'ouvrir un second roman de l'auteur mais avec encore moins de succès comme je l'explique ici. Je ne doute pas que ce roman trouvera preneuse ou preneur moins réfractaire que moi.
Arto Paasilinna - Le lièvre de Vatanen
La douce empoisonneuse m'avait laissée un peu de marbre et ne m'avais pas donné envie de lire d'autres romans de cet auteur. Et puis je suis tombée par hasard sur ce roman culte proposé à 1 euro et je me suis dit "bonne occasion pour une autre tentative". Elle s'avère hélas tout sauf concluante. Je suis arrivée très lentement et très poussivement à la page 103 sur moins de 200 (gros caractères, chapitres courts) en deux fois plus de temps qu'il ne m'en a fallu pour achever les 750 pages des incorrigibles optimistes de Guenassia (éloge ici). Je viens de décider d'abandonner.
Lisbonne 2011 (31/31)
Last but not least.
Loin de là !
En fait, j'ai triché : cette photo n'a pas été prise à Lisbonne ni même à Belém mais bel et bien à Paris le lendemain de mon retour.
J'étais partie les bras chargés de ces succulentes patisseries offertes par nos interlocuteurs portugais pour moi et mes collègues parisiens.
Le pastel de nata est la patisserie traditionnelle portugaise et le pastel de Belém (nom déposé) est la rolls des pastel de nata, un peu (mais en "pire" ou en plus marqué si l'on préfère) comme Ladurée est la référence française en matière de macarons.
Il est vrai que ces petits gâteaux n'ont l'air de rien mais ils sont re-dou-ta-bleuhhh. Rien que d'en parler et de les voir en photo, je me remémore leur saveur crousti-fondante et je commence à saliver. De fait, il y a tout le temps la queue devant l'unique pâtisserie qui les vend à Belém (d'où leur nom). Mais ça va vite (la comparaison macarons Ladurée reste valable).
Pastel de nata ou pastel de Belém même combat : ce petit flan sur un lit de pâte feuilleté craquante est une pure tuerie à laquelle on devient très vite accro et dont je me suis amplement gavée comme mon tour de taille l'attestait à mon retour !
Loin de là !
En fait, j'ai triché : cette photo n'a pas été prise à Lisbonne ni même à Belém mais bel et bien à Paris le lendemain de mon retour.
J'étais partie les bras chargés de ces succulentes patisseries offertes par nos interlocuteurs portugais pour moi et mes collègues parisiens.
Le pastel de nata est la patisserie traditionnelle portugaise et le pastel de Belém (nom déposé) est la rolls des pastel de nata, un peu (mais en "pire" ou en plus marqué si l'on préfère) comme Ladurée est la référence française en matière de macarons.
Il est vrai que ces petits gâteaux n'ont l'air de rien mais ils sont re-dou-ta-bleuhhh. Rien que d'en parler et de les voir en photo, je me remémore leur saveur crousti-fondante et je commence à saliver. De fait, il y a tout le temps la queue devant l'unique pâtisserie qui les vend à Belém (d'où leur nom). Mais ça va vite (la comparaison macarons Ladurée reste valable).
Pastel de nata ou pastel de Belém même combat : ce petit flan sur un lit de pâte feuilleté craquante est une pure tuerie à laquelle on devient très vite accro et dont je me suis amplement gavée comme mon tour de taille l'attestait à mon retour !
Libellés :
Autour de la photo,
Autour de la table,
Autour des villes
Athènes 2011 (31/31)
Le Fou du Roy (Le vieux Mans)
Bonjour à celles et ceux qui attendent une certaine qualité de service en allant au restaurant
Bonjour aux zotres
Vendredi 18, mes parents et moi-même avons voulu dîner dans un des multiples restaurants du Vieux Mans. Il était environ 21h30. En quittant la place des Jacobins, nous avons tout d'abord flâné du côté du tunnel où Le Fou du Roy, un restaurant que nous n'avions jamais vu, disposait d'une terrasse dans une petite impasse et en avait aménagé une seconde sur parquet flottant sur la fort pentue place du Hallay.
L'endroit semblait agréable, le rapport qualité prix correct même si le peu de choix au menu et l'extrême banalité des desserts nous freinaient encore. Mais nous ne visions pas un dîner gastronomique, nous étions en mode découverte et, au premier coup d'oeil, la terrasse semblait agréable. Nous nous y sommes donc installés à une table pour 4 dressée pour 2. Les choses semblaient bien engagées mais elles se sont vite gâtées.
Tout d'abord, le serveur fort souriant certes mais très familier, est arrivé avec 3 verres à eau dépareillés pour compléter la table dont un minuscule verre à pied pour le moins incongru. En soi ce n'est pas dramatique mais ce n'est pas très pro non plus et ce n'était que le signe avant coureur de ce qui allait suivre.
Ensuite, la terrasse sur le parquet ne s'est pas averée une si bonne idée que ça pour au moins deux raisons. La première est que nous avions l'impression d'être sur un bateau à quai à chaque pas du serveur tant il faisait danser les lattes du parquet. La seconde est que la vue qui nous semblait agréable lorsque nous étions debout et que nous avions une vision d'ensemble, s'est avérée nettement moins sympa une fois assis car deux d'entre nous avaient essentiellement vu sur... un parking.
Pour continuer, la prise de commande fut un peu longue à arriver, lente et cahotique. Lorsqu'on a si peu de choix dont trois desserts plus que basiques (moelleux au chocolat, ch'sais plus quoi du même tonneau et boules glaces) on ne s'attend pas forcément à ce que le choix soit encore réduit par la non disponibilité des plats initialement choisis ou par un éventail de parfums de glaces et sorbets ridiculement réduit (surtout en plein mois d'août !).
Bizarrement, le serveur a souhaité envoyer la commande en cuisine avant que nous n'ayons choisi le vin. Nous n'avons pas vraiment eu le choix, il s'est éloigné avant que nous ayons pu commandé. C'était d'autant plus dommage que nous souhaitions prendre un verre apéritif. Il s'est avéré que la carte des vins n'était guère plus fourni et surtout, que les prix pratiqués étaient pour le moins exagérés (un rosé Côte de provence de base à 25 euros ? Même à Paris c'est sensiblement moins cher !).
Il nous a fallu patienter un moment avant de revoir le serveur dont l'attitude pour le moins désinvolte et désorganisée démontrait assez bien qu'il était aussi doué pour ce métier fait de contact certes mais aussi de conseil, de bon sens, de distance et d'efficacité, que moi pour l'alpinisme. Nous avons donc pu commander notre bouteille en spécifiant que nous la souhaitions rapidement afin de prendre l'apéritif.
Je n'ai pas le souvenir en plus de 40 ans d'existence et de pratique plutôt intensive des dîners au restaurant que cette consigne ait posé le moindre problème ailleurs. Certes, il a pu arriver une fois ou deux que la commande de liquide soit purement et simplement oubliée. Mais tout comme l'erreur, l'oubli est humain et surtout, il est vite réparé quand il est signalé. Ce qui est moins agréable en revanche, c'est de constater que le serveur se souvient parfaitement de ce que vous lui avez demandé, qu'il vous balance des "j'arrive" mais qu'il s'affaire à tout un tas d'autres choses qu'à apporter votre boisson.
C'est d'autant plus stupide que nous n'aurions pas vu le temps passer si nous avions poireauté tout en sirotant un voire deux verres de rosé. En outre, nous aurions bien été obligés d'attendre nos plats justement... tandis que là, nous sommes partis.
Le serveur n'a pas apprécié que mon père lui fasse un signe pour lui signifier que nous attendions depuis longtemps et nous nous sommes levés à l'unisson dès qu'il a ouvert la bouche pour nous préciser "Ah la la minute, vous voyez bien que je suis occupé" puis "je n'ai que deux bras" ou encore "faut pas être pressé comme ça, c'est la fin de service" et enfin "vous pourriez le dire sur un autre ton" alors qu'aucun ton n'avait été adopté puisque mon père s'était juste signalé par un geste marquant l'impatience. On aurait d'ailleurs pu lui retourner le compliment car en mode aimable il était familier limite déplacé, en mode "chassez le naturel il revient au galop" il démontrait son absence totale de professionnalisme.
Qu'il n'aie que deux bras certes, mais justement :
1/ quand on est seul au service on s'arrange pour optimiser son organisation : on ne vient pas prendre une commande les mains vides et on se déplace utile ne serait-ce que par simple pragmatisme et pour s'éviter des pas inutiles.
2/ les clients n'ont pas à subir les conséquences du sous-effectif d'un restaurant et celui-ci peut aussi avoir le respect de refuser des clients s'il n'est pas en mesure de (bien) les servir dans des délais décents. Combien de temps aurions-nous attendu nos plats quand on voit celui qu'une bouteille a mis à ne jamais arriver ?
3/ Quelle fin de service (et quel rapport) ? Une autre table que la nôtre en était au même point que nous et un couple est arrivé ensuite... Et si vraiment fin de service il y a, j'en reviens d'autant plus aux points 1 et 2.
Je dois avouer que nous avons été plus que soulagés de partir et 5 minutes plus tard nous étions atablés dans un lieu 10 fois plus convivial et nous offrant un vaste choix de solides et de liquides (à prix nettement plus doux), le tout servi par un pro !
Site du restaurant dont, toutes choses égales par ailleurs, la décoration intérieure semble très sympa.
Bonjour aux zotres
Vendredi 18, mes parents et moi-même avons voulu dîner dans un des multiples restaurants du Vieux Mans. Il était environ 21h30. En quittant la place des Jacobins, nous avons tout d'abord flâné du côté du tunnel où Le Fou du Roy, un restaurant que nous n'avions jamais vu, disposait d'une terrasse dans une petite impasse et en avait aménagé une seconde sur parquet flottant sur la fort pentue place du Hallay.
L'endroit semblait agréable, le rapport qualité prix correct même si le peu de choix au menu et l'extrême banalité des desserts nous freinaient encore. Mais nous ne visions pas un dîner gastronomique, nous étions en mode découverte et, au premier coup d'oeil, la terrasse semblait agréable. Nous nous y sommes donc installés à une table pour 4 dressée pour 2. Les choses semblaient bien engagées mais elles se sont vite gâtées.
Tout d'abord, le serveur fort souriant certes mais très familier, est arrivé avec 3 verres à eau dépareillés pour compléter la table dont un minuscule verre à pied pour le moins incongru. En soi ce n'est pas dramatique mais ce n'est pas très pro non plus et ce n'était que le signe avant coureur de ce qui allait suivre.
Ensuite, la terrasse sur le parquet ne s'est pas averée une si bonne idée que ça pour au moins deux raisons. La première est que nous avions l'impression d'être sur un bateau à quai à chaque pas du serveur tant il faisait danser les lattes du parquet. La seconde est que la vue qui nous semblait agréable lorsque nous étions debout et que nous avions une vision d'ensemble, s'est avérée nettement moins sympa une fois assis car deux d'entre nous avaient essentiellement vu sur... un parking.
Pour continuer, la prise de commande fut un peu longue à arriver, lente et cahotique. Lorsqu'on a si peu de choix dont trois desserts plus que basiques (moelleux au chocolat, ch'sais plus quoi du même tonneau et boules glaces) on ne s'attend pas forcément à ce que le choix soit encore réduit par la non disponibilité des plats initialement choisis ou par un éventail de parfums de glaces et sorbets ridiculement réduit (surtout en plein mois d'août !).
Bizarrement, le serveur a souhaité envoyer la commande en cuisine avant que nous n'ayons choisi le vin. Nous n'avons pas vraiment eu le choix, il s'est éloigné avant que nous ayons pu commandé. C'était d'autant plus dommage que nous souhaitions prendre un verre apéritif. Il s'est avéré que la carte des vins n'était guère plus fourni et surtout, que les prix pratiqués étaient pour le moins exagérés (un rosé Côte de provence de base à 25 euros ? Même à Paris c'est sensiblement moins cher !).
Il nous a fallu patienter un moment avant de revoir le serveur dont l'attitude pour le moins désinvolte et désorganisée démontrait assez bien qu'il était aussi doué pour ce métier fait de contact certes mais aussi de conseil, de bon sens, de distance et d'efficacité, que moi pour l'alpinisme. Nous avons donc pu commander notre bouteille en spécifiant que nous la souhaitions rapidement afin de prendre l'apéritif.
Je n'ai pas le souvenir en plus de 40 ans d'existence et de pratique plutôt intensive des dîners au restaurant que cette consigne ait posé le moindre problème ailleurs. Certes, il a pu arriver une fois ou deux que la commande de liquide soit purement et simplement oubliée. Mais tout comme l'erreur, l'oubli est humain et surtout, il est vite réparé quand il est signalé. Ce qui est moins agréable en revanche, c'est de constater que le serveur se souvient parfaitement de ce que vous lui avez demandé, qu'il vous balance des "j'arrive" mais qu'il s'affaire à tout un tas d'autres choses qu'à apporter votre boisson.
C'est d'autant plus stupide que nous n'aurions pas vu le temps passer si nous avions poireauté tout en sirotant un voire deux verres de rosé. En outre, nous aurions bien été obligés d'attendre nos plats justement... tandis que là, nous sommes partis.
Le serveur n'a pas apprécié que mon père lui fasse un signe pour lui signifier que nous attendions depuis longtemps et nous nous sommes levés à l'unisson dès qu'il a ouvert la bouche pour nous préciser "Ah la la minute, vous voyez bien que je suis occupé" puis "je n'ai que deux bras" ou encore "faut pas être pressé comme ça, c'est la fin de service" et enfin "vous pourriez le dire sur un autre ton" alors qu'aucun ton n'avait été adopté puisque mon père s'était juste signalé par un geste marquant l'impatience. On aurait d'ailleurs pu lui retourner le compliment car en mode aimable il était familier limite déplacé, en mode "chassez le naturel il revient au galop" il démontrait son absence totale de professionnalisme.
Qu'il n'aie que deux bras certes, mais justement :
1/ quand on est seul au service on s'arrange pour optimiser son organisation : on ne vient pas prendre une commande les mains vides et on se déplace utile ne serait-ce que par simple pragmatisme et pour s'éviter des pas inutiles.
2/ les clients n'ont pas à subir les conséquences du sous-effectif d'un restaurant et celui-ci peut aussi avoir le respect de refuser des clients s'il n'est pas en mesure de (bien) les servir dans des délais décents. Combien de temps aurions-nous attendu nos plats quand on voit celui qu'une bouteille a mis à ne jamais arriver ?
3/ Quelle fin de service (et quel rapport) ? Une autre table que la nôtre en était au même point que nous et un couple est arrivé ensuite... Et si vraiment fin de service il y a, j'en reviens d'autant plus aux points 1 et 2.
Je dois avouer que nous avons été plus que soulagés de partir et 5 minutes plus tard nous étions atablés dans un lieu 10 fois plus convivial et nous offrant un vaste choix de solides et de liquides (à prix nettement plus doux), le tout servi par un pro !
Site du restaurant dont, toutes choses égales par ailleurs, la décoration intérieure semble très sympa.
mardi 30 août 2011
Lisbonne 2011 (30/31)
Athènes 2011 (30/31)
lundi 29 août 2011
Athènes 2011 (29/31)
dimanche 28 août 2011
Lisbonne 2011 (28/31)
il y avait une rétrospective Columbano Bordalo Pinheiro (dit Columbano) au musée du Chiado. J'avoue que je ne connaissais pas ce peintre lisboate (1857-1929) pourtant considéré comme le plus grand artiste portugais du XIXe et ce fut une très agréable découverte dans un fort bel endroit.
Athènes 2011 (28/31)
A Athènes, on trouve des bâtiments blancs à colonnes et chapiteaux qui ressemblent à s'y méprendre à des bâtiments US... A moins que ce ne soient moult architectes US peu imaginatifs qui aient tout simplement lorgné de façon ehontée (et répétitive) sur tout ce que la Grèce compte de dorique, de ionique et de corinthien. Allez savoir...
samedi 27 août 2011
Monsieur Sainte Nitouche (ravie de te rencontrer)
Bonjour à celles et ceux qui se rencontrent à Paris
Bonjour à celles et ceux à qui les chansons légères et gaies donnent la pêche
Bonjour aux zotres
C'était mon coup de coeur d'hier. Voici les paroles de la chanson French Cancan de Inna Modja illustrées par un diaporama sonore. Top, non ?
Inna Modja - French Cancan (Monsieur Sainte... par InnaModja-officiel
Bonjour à celles et ceux à qui les chansons légères et gaies donnent la pêche
Bonjour aux zotres
C'était mon coup de coeur d'hier. Voici les paroles de la chanson French Cancan de Inna Modja illustrées par un diaporama sonore. Top, non ?
Inna Modja - French Cancan (Monsieur Sainte... par InnaModja-officiel
Lisbonne 2011 (27/31)
Le prince charmant existe (mais est trop poilu pour être un trooobogosse)
Caresses et bravo à Jesse
Bonjour aux zotres
Anne-Sophie m'a envoyé cette video il y a un moment déjà et je l'en remercie. Si quelques menus détails ne posaient problèmes (2 pattes en trop, des oreilles cassées, une (petite) queue en trompette...), elle donne (presque) envie d'épouser son héros si dynamique, serviable et enthousiaste. Et si comme l'histoire de Shrek le laissait déjà supposer, le Prince Charmant n'était pas vraiment humain ?
Lien si vous ne voyez pas la video
Bonjour aux zotres
Anne-Sophie m'a envoyé cette video il y a un moment déjà et je l'en remercie. Si quelques menus détails ne posaient problèmes (2 pattes en trop, des oreilles cassées, une (petite) queue en trompette...), elle donne (presque) envie d'épouser son héros si dynamique, serviable et enthousiaste. Et si comme l'histoire de Shrek le laissait déjà supposer, le Prince Charmant n'était pas vraiment humain ?
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Athènes 2011 (27/31)
vendredi 26 août 2011
Coup de coeur et de gueule vendredesque (34-2011)
Bonjour à Monsieur Sainte Nitouche
Bonjour aux inventeurs/euses du baygon vert et des tapettes vapona
Bonjour aux zotres
Coup de coeur
Depuis quelques jours, je perçois ici ou là, des bribes d'une chanson diablement entraînante et je l'avais dans la tête hier soir en rentrant chez moi quand, ô miracle, je suis tombée sur le clip en allumant la télévision. Je n'ai pas pu voir le titre de la chanson ni le nom de sa très belle interprète mais j'ai tapé Monsieur Sainte Nitouche sur Google et, ô miracle-bis (nettement plus relatif, certes), j'ai illico obtenu la réponse : French Cancan par Inna Modja. Cette chanson est une tuerie et tous les ingrédients tubesques sont réunis. Attention, une fois que vous l'aurez entendue, vous ne pourrez plus l'oublier.
Site officiel où l'on peut voir le clip et écouter d'autres titres.
Coup de gueule
Source du dessin
Hier soir, j'étais invitée à dîner chez des ami(e)s et nous avons bu l'apéritif dehors (ben oui, ils vivent en banlieue et possèdent un jardin). Jusque là, pas de quoi passer un coup de gueule. Sauf qu'à un moment donné, j'ai commencé à ressentir des chatouillements sous la table et, par là même, je me suis aperçue de la présence de moustiques (et moi qui avais oublié ma malarone guinéenne !!!). Evidemment je portais une robe, des chaussures ouvertes... sauf que ces saloperies debestioles ont poussé le vice et le sadisme jusqu'à ne pas me piquer aux jambes (le pantalon constitue un excellent camoufflage en cas de rougeurs) mais... en plein front et je me suis retrouvée une heure après avec une magnifique bosse rouge de la taille d'un demi oeuf de caille qui se voit, c'est (presque) le cas de le dire, comme le nez au milieu de la figure ! Evidemment j'avais 3 réunions importantes aujourd'hui...
Bonjour aux inventeurs/euses du baygon vert et des tapettes vapona
Bonjour aux zotres
Coup de coeur
Depuis quelques jours, je perçois ici ou là, des bribes d'une chanson diablement entraînante et je l'avais dans la tête hier soir en rentrant chez moi quand, ô miracle, je suis tombée sur le clip en allumant la télévision. Je n'ai pas pu voir le titre de la chanson ni le nom de sa très belle interprète mais j'ai tapé Monsieur Sainte Nitouche sur Google et, ô miracle-bis (nettement plus relatif, certes), j'ai illico obtenu la réponse : French Cancan par Inna Modja. Cette chanson est une tuerie et tous les ingrédients tubesques sont réunis. Attention, une fois que vous l'aurez entendue, vous ne pourrez plus l'oublier.
Site officiel où l'on peut voir le clip et écouter d'autres titres.
Coup de gueule
Source du dessin
Hier soir, j'étais invitée à dîner chez des ami(e)s et nous avons bu l'apéritif dehors (ben oui, ils vivent en banlieue et possèdent un jardin). Jusque là, pas de quoi passer un coup de gueule. Sauf qu'à un moment donné, j'ai commencé à ressentir des chatouillements sous la table et, par là même, je me suis aperçue de la présence de moustiques (et moi qui avais oublié ma malarone guinéenne !!!). Evidemment je portais une robe, des chaussures ouvertes... sauf que ces saloperies debestioles ont poussé le vice et le sadisme jusqu'à ne pas me piquer aux jambes (le pantalon constitue un excellent camoufflage en cas de rougeurs) mais... en plein front et je me suis retrouvée une heure après avec une magnifique bosse rouge de la taille d'un demi oeuf de caille qui se voit, c'est (presque) le cas de le dire, comme le nez au milieu de la figure ! Evidemment j'avais 3 réunions importantes aujourd'hui...
Athènes 2011 (26/31)
Lisbonne 2011 (26/31)
jeudi 25 août 2011
Lisbonne 2011 (25/31)
Deux faits sont indéniables : les églises portugaises sont nettement moins vides que leurs copines françaises et les madones qui les occupent ne respirent pas la franche gaité mais quelques unes sont d'une beauté vraiment saisissante et nettement plus expressives que les vierges de platre vêtues de blanc et ceinturées de bleu qu'on croise dans toutes les églises françaises.
Athènes 2011 (25/31)
Ceci est la galerie aussi centrale que ronde et extérieure d'une espèce de bourse du commerce locale située dans un immense parc tout aussi central où se déroulait une sorte de foire aux produits écolo et du terroir allant du jus d'herbe (goûtée pour la première fois... heu... beurk) au miel en passant par la féta, le vin de Samos ou d'ailleurs et, bien sûr, les zincontournables (et délicieux !) loukoums vendus 2 fois moins chers que dans les commerces alentours.
mercredi 24 août 2011
Dis-moi ce que tu bois (je te dirai qui tu es)
Bonjour à Miss Zaza from Mars
Bonjour aux assoifé(e)s
Bonjour aux zotres
Après avoir répondu C sans hésitation au méga grand sondage ménage de Miss Zaza (en gros C = le ménage et moi ça fait 2 comme je le sous-entendais déjà ici), j'ai vu qu'elle interrogeait la blogosphère sur un sujet hautement philosophico-existentialo-primordial notamment en période caniculaire : la boisson !
Les questions 1, 2, 3, 4 et 9 sont d'origine et j'en ai ajouté 4 (numérotées 5, 6, 7 et 8) pour atteindre mon chiffre fétiche !
1 - Celle que je ne bois que l'été
S'il est bien une boisson synonyme d'été, de soleil, de barbecue, de camping, de pétanques, de tongs, d'élection de miss camping, c'est le pastis... Mais bon, n'aimant pas les boissons anisées et le camping ne faisant pas partie de mon univers, revenez un peu en arrière et arrêtez-vous à barbecue. Enchaînez avec salades de tomates, odeur de basilic, pêches juteuses (jaunes de préférence), fraises parfumées et accompagnez le tout d'un verre de rosé. Je ne suis pas fan de ce vin dans l'absolu mais il est vrai que l'été, en terrasse ou sur l'herbe, dans un verre à pied ou un gobelet en plastique, ça se boit bien ! J'aime bien le Tavel et sinon, plus haut de gamme, j'ai découvert l'an dernier la Rolls des rosés : l'incomparable Château Minuty.
2 - Celle que je partage avec mes ami(e)s
Dans mon entourage, on est plutôt Bordeaux que Bourgogne, vin rouge que vin blanc et ça tombe bien moi aussi...
Quoi de mieux qu'un bon Saint Estèphe ou un Pauillac à l'apéritif comme au cours d'un repas convivial ?
Il y a belle lurette que nous avons proscrit les cocktails, alcools forts ou vins cuits afin d'éviter les mélanges... Seul le Champagne peut nous faire déroger à cette règle autant (sinon plus) dictée par le goût que par la modération.
3 - Celle que je préfère
Ici, en fait, j'ai un peu triché. Sinon j'aurais répondu la même chose qu'à la question 2 ou à la dernière (9 donc).
Mais il est vrai que ce fut une révélation. Je n'ai jamais pu boire de Coca Light tant c'est dégueulasse (on sent vachement l'aspartame pendant et surtout après) mais le Coca Zéro a quasiment le même goût que le vrai. J'ai même tendance à le préférer désormais trouvant le Coca normal trop sucré.
4 - Celle qui me dégoûte
J'en ai déjà parlé, j'en ai rappporté de Guinée pour le faire goûter lors d'un dîner livres échanges au cours duquel les avis furent moins tranchés que le mien. Je maintiens cependant que c'est immonde et qu'on croirait boire du jus de cosse de petits pois crus.
5 - Celle qui me rend nostalgique
Ah le bissap ! C'est incontestablement ma GRANDEUHHH découverte africaine en Guinée et mon régal sénégalais : j'en buvais entre 3 et 5 par jour sans compter les confiture et la sauce des plats. Il s'agit en fait d'un jus à base de fleurs d'hibiscus. Les égyptiens les consomment aussi en jus ou en infusion sous le nom de kadaré.
6 - Celle à laquelle je suis accro
Je ne bois jamais de café chez moi à part à la fin d'un repas entre ami(e)s. En revanche, au bureau, il me faut ma dose minimale de 3 par jour : 1 en arrivant le matin, un autre vers midi, un autre après déjeuner. Parfois j'en bois un ou deux de plus mais j'essaie de me limiter à 3. Bien que nous ayons une kfet qui fait de bons expressos et une machine Nespresso à disposition, je préfère de très loin boire des expressos allongés pris à un distributeur de boissons. C'est moins chic, moins what else mais meilleur pour le coeur (et la digestion mais je vous passe les détails).
7 - Celle qui me rappelle l'enfance
J'ai d'abord pensé au Cacolac qui est un peu au boissons ce que le Flamby est aux yaourts ou le Kiri aux fromages. Ensuite j'ai songé que ma grand-mère commandait toujours un Pschitt orange dans les rares occasions où nous allions au café ensemble. Je ne sais pas si ça existe encore.
J'ai finalement opté pour la boisson qui correspond le plus à des souvenirs personnels : le lait de poule.
C'est un peu paradoxal si l'on songe que je n'en buvais guère que lorsque j'étais malade et que je trouvais cela paradoxalement délicieux et écoeurant mais en même temps ça évoque la tiédeur du lit, les grasses matinées et siestes avec des chatons, les petits lus, le miel, le cocooning et l'attention parentale.
8 - Celle qui m'a collé la honte
En général, si par mégarde on prend une bonne vraie mémorable cuite, on le fait avec ses potes et on évite de le faire devant ses parents. Ben moi, pas. Il faut dire que je n'en ai pas fait exprès : je ne me suis absolument pas rendue compte que j'étais bourée avant de me lever de table et de voir la salle danser autour de moi à la fin du spectacle.
En fait, nous étions allés au Lido pour la première fois de nos vies respectives. Chaque entrée donne droit à 1/2 bouteille de Champagne par personne ou à deux cocktails (je dis bien 2, pas 1). Comme je n'étais pas, à l'époque, très fan de bulles et comme je revenais juste des USA où j'avais découvert et adoré ce cocktail, j'ai demandé des black russians.
Le serveur ne sachant pas ce que c'était, je lui fais le coup de la crèpe au sucre des Bronzés 2 : "Vous avez de la Vodka ? Vous avez du Kaluah ? Eh bien vous faites moitié-moitié et vous servez avec une paille".
Hélas pour moi, mes instructions furent suivies à la lettre sauf qu'aux USA les black russians étaient servis dans des verres à Whisky avec de la glace pilée. Là, j'avais devant moi deux énormes verres à orangeade remplis à ras bord et même si j'ai trouvé ça un brin intimidant, je n'ai rien dit et j'ai tout bu... Lentement mais sûrement à la paille... D'où le désastre.
J'ai tenté de garder ma dignité jusqu'à mon appartement (se cramponner aux murs pour marcher, avancer lentement, parler le moins possible en articulant le plus possible, se concentrer sur sa respiration, nier l'évidence en cas de question parentale...) mais ça s'est assez vite gâté.
Pour une raison qui m'échappe et certainement liée au fait que de raison, justement, je n'en avais plus guère, lorsque j'ai commencé à me sentir malade, au lieu de m'enfermer dans les toilettes, je suis allée dans la baignoire...
Résultat des courses, mon père a dû la déboucher le lendemain matin sous le regard goguenard de mon co-locataire de l'époque qui a déployé toute la gamme de vannes possibles et imaginables allant de "vous auriez pu surveiller votre fille" à "vous voyez quel calvaire je vis, je suis obligé de planquer les bouteilles" en passant par "c'est la 3e fois ce mois-ci".
Bref, 20 ans plus tard on m'en parle encore et il m'est toujours impossible d'envisager d'ingurgiter la moindre goutte de liqueur de café.
9 - Celle dont je ne pourrais me passer
Je ne suis pas une grande buveuse d'eau. J'aime beaucoup ça mais pas le matin (surtout à jeun) car ça me donne des nausées. Il faut qu'elle soit froide mais pas glacée, sans arrière goût, etc. Bref, je ne suis pas du genre à avoir ma bouteille sur mon bureau ou dans mon sac (et encore moins sur ma table de nuit) et à siroter une gorgée en toute occasion.
Le seul moment où je me suis vraiment forcée à boire de l'eau pas fraîche c'est dans le désert de la vallée de la mort et encore, je n'ai pas insisté.
Que ce serait ma déshydratation sans Lipton ? Je me le demande.
Je me gave de thé vert matin, midi, soir et nuit depuis la canicule de 2003 et je suis toujours fidèle au bon vieux Tchaé Orient (j'en bois un en ce moment) même si la nouvelle gamme en boites carrés (découverte en mars dans un Carrefour d'Athènes, comme quoi...) est excellente aussi. Et puis c'est un bon prétexte pour rapporter des tas de mugs du monde entier, non ?
Bonjour aux assoifé(e)s
Bonjour aux zotres
Après avoir répondu C sans hésitation au méga grand sondage ménage de Miss Zaza (en gros C = le ménage et moi ça fait 2 comme je le sous-entendais déjà ici), j'ai vu qu'elle interrogeait la blogosphère sur un sujet hautement philosophico-existentialo-primordial notamment en période caniculaire : la boisson !
Les questions 1, 2, 3, 4 et 9 sont d'origine et j'en ai ajouté 4 (numérotées 5, 6, 7 et 8) pour atteindre mon chiffre fétiche !
1 - Celle que je ne bois que l'été
S'il est bien une boisson synonyme d'été, de soleil, de barbecue, de camping, de pétanques, de tongs, d'élection de miss camping, c'est le pastis... Mais bon, n'aimant pas les boissons anisées et le camping ne faisant pas partie de mon univers, revenez un peu en arrière et arrêtez-vous à barbecue. Enchaînez avec salades de tomates, odeur de basilic, pêches juteuses (jaunes de préférence), fraises parfumées et accompagnez le tout d'un verre de rosé. Je ne suis pas fan de ce vin dans l'absolu mais il est vrai que l'été, en terrasse ou sur l'herbe, dans un verre à pied ou un gobelet en plastique, ça se boit bien ! J'aime bien le Tavel et sinon, plus haut de gamme, j'ai découvert l'an dernier la Rolls des rosés : l'incomparable Château Minuty.
2 - Celle que je partage avec mes ami(e)s
Dans mon entourage, on est plutôt Bordeaux que Bourgogne, vin rouge que vin blanc et ça tombe bien moi aussi...
Quoi de mieux qu'un bon Saint Estèphe ou un Pauillac à l'apéritif comme au cours d'un repas convivial ?
Il y a belle lurette que nous avons proscrit les cocktails, alcools forts ou vins cuits afin d'éviter les mélanges... Seul le Champagne peut nous faire déroger à cette règle autant (sinon plus) dictée par le goût que par la modération.
3 - Celle que je préfère
Ici, en fait, j'ai un peu triché. Sinon j'aurais répondu la même chose qu'à la question 2 ou à la dernière (9 donc).
Mais il est vrai que ce fut une révélation. Je n'ai jamais pu boire de Coca Light tant c'est dégueulasse (on sent vachement l'aspartame pendant et surtout après) mais le Coca Zéro a quasiment le même goût que le vrai. J'ai même tendance à le préférer désormais trouvant le Coca normal trop sucré.
4 - Celle qui me dégoûte
J'en ai déjà parlé, j'en ai rappporté de Guinée pour le faire goûter lors d'un dîner livres échanges au cours duquel les avis furent moins tranchés que le mien. Je maintiens cependant que c'est immonde et qu'on croirait boire du jus de cosse de petits pois crus.
5 - Celle qui me rend nostalgique
Ah le bissap ! C'est incontestablement ma GRANDEUHHH découverte africaine en Guinée et mon régal sénégalais : j'en buvais entre 3 et 5 par jour sans compter les confiture et la sauce des plats. Il s'agit en fait d'un jus à base de fleurs d'hibiscus. Les égyptiens les consomment aussi en jus ou en infusion sous le nom de kadaré.
6 - Celle à laquelle je suis accro
Je ne bois jamais de café chez moi à part à la fin d'un repas entre ami(e)s. En revanche, au bureau, il me faut ma dose minimale de 3 par jour : 1 en arrivant le matin, un autre vers midi, un autre après déjeuner. Parfois j'en bois un ou deux de plus mais j'essaie de me limiter à 3. Bien que nous ayons une kfet qui fait de bons expressos et une machine Nespresso à disposition, je préfère de très loin boire des expressos allongés pris à un distributeur de boissons. C'est moins chic, moins what else mais meilleur pour le coeur (et la digestion mais je vous passe les détails).
7 - Celle qui me rappelle l'enfance
J'ai d'abord pensé au Cacolac qui est un peu au boissons ce que le Flamby est aux yaourts ou le Kiri aux fromages. Ensuite j'ai songé que ma grand-mère commandait toujours un Pschitt orange dans les rares occasions où nous allions au café ensemble. Je ne sais pas si ça existe encore.
J'ai finalement opté pour la boisson qui correspond le plus à des souvenirs personnels : le lait de poule.
C'est un peu paradoxal si l'on songe que je n'en buvais guère que lorsque j'étais malade et que je trouvais cela paradoxalement délicieux et écoeurant mais en même temps ça évoque la tiédeur du lit, les grasses matinées et siestes avec des chatons, les petits lus, le miel, le cocooning et l'attention parentale.
8 - Celle qui m'a collé la honte
En général, si par mégarde on prend une bonne vraie mémorable cuite, on le fait avec ses potes et on évite de le faire devant ses parents. Ben moi, pas. Il faut dire que je n'en ai pas fait exprès : je ne me suis absolument pas rendue compte que j'étais bourée avant de me lever de table et de voir la salle danser autour de moi à la fin du spectacle.
En fait, nous étions allés au Lido pour la première fois de nos vies respectives. Chaque entrée donne droit à 1/2 bouteille de Champagne par personne ou à deux cocktails (je dis bien 2, pas 1). Comme je n'étais pas, à l'époque, très fan de bulles et comme je revenais juste des USA où j'avais découvert et adoré ce cocktail, j'ai demandé des black russians.
Le serveur ne sachant pas ce que c'était, je lui fais le coup de la crèpe au sucre des Bronzés 2 : "Vous avez de la Vodka ? Vous avez du Kaluah ? Eh bien vous faites moitié-moitié et vous servez avec une paille".
Hélas pour moi, mes instructions furent suivies à la lettre sauf qu'aux USA les black russians étaient servis dans des verres à Whisky avec de la glace pilée. Là, j'avais devant moi deux énormes verres à orangeade remplis à ras bord et même si j'ai trouvé ça un brin intimidant, je n'ai rien dit et j'ai tout bu... Lentement mais sûrement à la paille... D'où le désastre.
J'ai tenté de garder ma dignité jusqu'à mon appartement (se cramponner aux murs pour marcher, avancer lentement, parler le moins possible en articulant le plus possible, se concentrer sur sa respiration, nier l'évidence en cas de question parentale...) mais ça s'est assez vite gâté.
Pour une raison qui m'échappe et certainement liée au fait que de raison, justement, je n'en avais plus guère, lorsque j'ai commencé à me sentir malade, au lieu de m'enfermer dans les toilettes, je suis allée dans la baignoire...
Résultat des courses, mon père a dû la déboucher le lendemain matin sous le regard goguenard de mon co-locataire de l'époque qui a déployé toute la gamme de vannes possibles et imaginables allant de "vous auriez pu surveiller votre fille" à "vous voyez quel calvaire je vis, je suis obligé de planquer les bouteilles" en passant par "c'est la 3e fois ce mois-ci".
Bref, 20 ans plus tard on m'en parle encore et il m'est toujours impossible d'envisager d'ingurgiter la moindre goutte de liqueur de café.
9 - Celle dont je ne pourrais me passer
Je ne suis pas une grande buveuse d'eau. J'aime beaucoup ça mais pas le matin (surtout à jeun) car ça me donne des nausées. Il faut qu'elle soit froide mais pas glacée, sans arrière goût, etc. Bref, je ne suis pas du genre à avoir ma bouteille sur mon bureau ou dans mon sac (et encore moins sur ma table de nuit) et à siroter une gorgée en toute occasion.
Le seul moment où je me suis vraiment forcée à boire de l'eau pas fraîche c'est dans le désert de la vallée de la mort et encore, je n'ai pas insisté.
Que ce serait ma déshydratation sans Lipton ? Je me le demande.
Je me gave de thé vert matin, midi, soir et nuit depuis la canicule de 2003 et je suis toujours fidèle au bon vieux Tchaé Orient (j'en bois un en ce moment) même si la nouvelle gamme en boites carrés (découverte en mars dans un Carrefour d'Athènes, comme quoi...) est excellente aussi. Et puis c'est un bon prétexte pour rapporter des tas de mugs du monde entier, non ?
Libellés :
Autour d'une question,
Autour de la table,
Moi ma vie mon oeuvre
Athènes 2011 (24/31)
mardi 23 août 2011
Lisbonne 2011 (23/31)
Amalfa est la quartier le plus ancien (et le plus en hauteur) de Lisbonne. Il est également très touristique et on y accède traditionnellement par le tram 28.
Le guide du Routard avertit à au moins 3 reprises de faire hyper gaffe aux pickpockets partout dans le quartier (y compris voire surtout dans le tram bondé). Il va jusqu'à répéter la mise en garde sur le plan de la ville !
De fait, la concentration de mendiants et personnages interlopes à l'affut est assez dense et le côté "repérage de brebis touristiques" est singulièrement visible (même par temps de pluie) et, juste en face de cette jolie église consacrée à Saint François d'Assise (je crois, de mémoire), j'ai entendu les cris d'une jeune japonaise qui venait de se faire arracher son sac.
Bien sûr, on peut être victime de pickpockets ou se faire arracher son sac partout mais autant savoir où le risque augmente... et c'est vraiment le cas ici au point que plusieurs commerçant(e)s m'ont spontanément mise en garde dans d'autres quartiers de la ville.
Le guide du Routard avertit à au moins 3 reprises de faire hyper gaffe aux pickpockets partout dans le quartier (y compris voire surtout dans le tram bondé). Il va jusqu'à répéter la mise en garde sur le plan de la ville !
De fait, la concentration de mendiants et personnages interlopes à l'affut est assez dense et le côté "repérage de brebis touristiques" est singulièrement visible (même par temps de pluie) et, juste en face de cette jolie église consacrée à Saint François d'Assise (je crois, de mémoire), j'ai entendu les cris d'une jeune japonaise qui venait de se faire arracher son sac.
Bien sûr, on peut être victime de pickpockets ou se faire arracher son sac partout mais autant savoir où le risque augmente... et c'est vraiment le cas ici au point que plusieurs commerçant(e)s m'ont spontanément mise en garde dans d'autres quartiers de la ville.
Athènes 2011 (23/31)
lundi 22 août 2011
Lisbonne 2011 (22/31)
Ce vaisseau est l'emblème de Lisbonne. A chaque extrémité figure un corbeau noir stylisé. Ce sont les animaux tutélaires de la ville car ils auraient servi de guides à la caravelle qui rapportait la dépouille de Saint Vincent, patron de la ville.
Voir ici
Voir ici
Bonnes résolutions appartementales et bloguesques (33-2011)
Bonjour à celles et ceux qui utilisent les laveries automatiques
Hommage à la Mère Denis
Bonjour aux zotres
Mon lave linge n'est pas un Vedette mais tout comme la Mère Denis, il n'est plus tout jeune... Aussi, après mon micro-ondes (qui datait d'avant 1988), mon four, mon lave-vaisselle et mon clic-clac (1991), mon lave-linge a-t-il décidé à son tour de rendre l'âme vendredi matin en plein cycle lavage d'une lessive à 90°. Ga-lè-reuhhh !
Il rejoint la longue liste des "trucs à remplacer" dans mon appartement et sa défection ne va contribuer ni au maintien de l'ordre ni à l'équilibre de mes finances.
Bref... Je commence à regarder ce qui se fait et si je ne sais pas encore ce que je vais choisir, je sais déjà ce que je ne vais pas acheter ! Si même les machines à laver le linge deviennent vulgos sous couvert de girlytude de mauvais goût, où va-t-on ?
Côté blog, j'ai promis à Océane de participer à ses deux concours (date limite 31 août), côté bouquin, je parlerai de Bifteck de Martin Provost, côté table, j'évoquerai le restaurant du théâtre du Rond Point ce qui devrait aussi me permettre, dans la foulée, de revenir sur la pièce Moche et côté photos dépaysantes, je mettrai en ligne quelques photos prises au Musée des Beaux Arts de Nancy annoncés la semaine dernière et remplacés par la Cathédrale du Mans pour des questions de timing contrarié (merci mon lave-linge) et d'actu (puisque les Nuits des Chimères se déroulent actuellement).
Hommage à la Mère Denis
Bonjour aux zotres
Mon lave linge n'est pas un Vedette mais tout comme la Mère Denis, il n'est plus tout jeune... Aussi, après mon micro-ondes (qui datait d'avant 1988), mon four, mon lave-vaisselle et mon clic-clac (1991), mon lave-linge a-t-il décidé à son tour de rendre l'âme vendredi matin en plein cycle lavage d'une lessive à 90°. Ga-lè-reuhhh !
Il rejoint la longue liste des "trucs à remplacer" dans mon appartement et sa défection ne va contribuer ni au maintien de l'ordre ni à l'équilibre de mes finances.
Bref... Je commence à regarder ce qui se fait et si je ne sais pas encore ce que je vais choisir, je sais déjà ce que je ne vais pas acheter ! Si même les machines à laver le linge deviennent vulgos sous couvert de girlytude de mauvais goût, où va-t-on ?
Côté blog, j'ai promis à Océane de participer à ses deux concours (date limite 31 août), côté bouquin, je parlerai de Bifteck de Martin Provost, côté table, j'évoquerai le restaurant du théâtre du Rond Point ce qui devrait aussi me permettre, dans la foulée, de revenir sur la pièce Moche et côté photos dépaysantes, je mettrai en ligne quelques photos prises au Musée des Beaux Arts de Nancy annoncés la semaine dernière et remplacés par la Cathédrale du Mans pour des questions de timing contrarié (merci mon lave-linge) et d'actu (puisque les Nuits des Chimères se déroulent actuellement).
Sélection bloguesque (de la semaine 33-2011)
Bonjour Liliba
Bonjour aux consommateurs de Viagra
Bonjour à leurs partenaires féminines (ou pas)
Bonjour aux zotres
Dessin issu du blog note et illustrant la note dont il est question ci-dessous. Cliquer sur le mot Quand pour accéder aux messages d'origine.
Quand le Viagra favorise la paix
La petite pillule bleue au service du renseignement US en Afghanistan : il fallait y penser !
Quand un hollandais collectionne les emmerdements
Une collection de pillules de Viagra. Ca vous serait venu à l'idée ? A priori c'est illégal et les ennuis commencent vraiment quand le précieux trésor est dérobé...
Quand Liliba reçoit un poème de son fils de 9 ans
Si Charles Baudelaire, Paul Verlaine ou Louise Labé ne parlaient pas d'ordi dans leurs poèmes, sonnets et autres rimes, c'est tout simplement parce que cela n'existait pas encore à leur époque !
Bonjour aux consommateurs de Viagra
Bonjour à leurs partenaires féminines (ou pas)
Bonjour aux zotres
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Quand le Viagra favorise la paix
La petite pillule bleue au service du renseignement US en Afghanistan : il fallait y penser !
Quand un hollandais collectionne les emmerdements
Une collection de pillules de Viagra. Ca vous serait venu à l'idée ? A priori c'est illégal et les ennuis commencent vraiment quand le précieux trésor est dérobé...
Quand Liliba reçoit un poème de son fils de 9 ans
Si Charles Baudelaire, Paul Verlaine ou Louise Labé ne parlaient pas d'ordi dans leurs poèmes, sonnets et autres rimes, c'est tout simplement parce que cela n'existait pas encore à leur époque !
Athènes 2011 (22/31)
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