Bonjour à celles et ceux qui faisez la mouche pas la guêpe
Bonjour à celles et ceux qui se pîquent (trop) occasionnellement de rangement
Bonjour à celles et ceux qui cherchent des idées de terrasses à Paris
Bonjour aux
nancéen(ne)s
Bonjour aux zotres
Et encore, les photos embellissent la situation...
Après une prise de conscience lente (certes) mais radicale (ô combien), j'ai entrepris le week-end dernier, de suivre quelques conseils (en apparence judicieux) de Miss Zen.
A en juger par les photos ci-dessous, on peut toutefois douter de la pertinence des actions entreprises. Avant, je campais, maintenant, j'ai l'impression d'être à Bagdad ou à Beirouth dans les années 80 ou à Berlin fin 1945 avec la même sensation d'avoir perdu une guerre mais à un détail de taille près : je ne crève pas la dalle et ma cuisine regorge de victuailles comme les autres pièces regorgent de cartons, piles diverses, trucs à trier variés, le tout constituant un bazar décourageant.
Je n'ai pas mis le nez dehors du week-end (de toute façon il fait moche, moins froid mais pas beau), terrée dans mon antre, slalommant entre les cartons, jouant les déménageuses immobiles au point d'attraper un tour de rein aussi douloureux que pénalisant. J'aurais bien besoin d'un bon massage... le seul hic c'est que je n'oserais jamais faire entrer le moindre masseur (professionnel ou pas) chez moi en l'état actuel de capharnaum de mon appartement.
Tiens ! Ca m'apprendra à me méfier de mes bonnes résolutions et surtout de la radicalité de mes méthodes... J'amasse, j'entasse, j'empile des kilos de trucs (évidemment tous parfaitement... heu... utiles... enfin...) et je voudrais régler le problème en un week-end fut-il ascentionnel ? Inconsciente voire prétentieuse que je suis !
Côté blog, je songe rebondir sur la métaphore belliqueuse du début de ce message pour évoquer mardi l'excellent roman Guerres du canadient Timothy Findley. Mercredi, je ferai preuve d'un optimisme climatique mesuré en évoquant un restaurant avec une vraie terrasse pouvant se transformer en véranda si le climat l'exige (vu l'été pourri qu'on a, la précaution n'est pas vaine), jeudi j'évoquerai le très agréable musée des beaux arts de la ville de Nancy.
Je vais également continuer à égrainer les photos de Lisbonne et d'Athènes et faire un état des lieux récapitulatif des gains que je dois encore envoyer aux brillant(e)s gagnant(e)s de certains jeux idiots.
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6 commentaires:
j'espère qu'au musée des beaux arts tu as visité en particulier la section en sous sol consacrée aux pâtes de verre !!
@ XL : Bien sûr mais ce n'est pas ce que j'ai préféré.
Appartement typique de quelqu'un qui n'y est toujours que de passage... Ça ne m’étonnerait d'ailleurs pas que tu ne voies tes potes qu'à l'extérieur. Bon heureusement, s'il y en a qui s'aventurent à passer à l’improviste, tu peux toujours leur offrir des sablés des prés Bonne Maman et ça c'est une preuve de bon goût ;o)
(tu peux dire à ton fauteuil rouge que son frère jumeau est chez moi !)
@ Mister ICB : je reçois de - en - par la force des choses : 1/ le bazar, 2/ mes fréquentes absences et 3/ le fait que mes ami(e)s habitent de + en + loin au fur et à mesure que les ans passent et que les enfants s'amoncellent.
Ton fauteuil rouge (que je déteste depuis l'enfance en fait) n'a pas de frère jumeau mais deux frères triplés quant aux excellentissimes sablés des prés ils ont tout de même un inconvénient majeur : tu as vraiment intérêt à te regarder les dents dans une glace si tu en grignotes un avant une réunion tant il est vrai que les graines de pavot ont une fâcheuse tendance à aimer se coller aux canines.
Ah oui, en effet, c'est pire que la dernière fois, carrément !!!!!
@ Liliba : c'est pire que pire que le plus pire que tout ! Je me demande même si ce n'est pas pire que lors de mon vrai déménagement... Ah non, parce que là, en plus, j'avais un squatteur chez moi, des travaux de peinture ayant évidemment un mois de retard et pas encore de buffet dans la salle à manger !!! Méga galère
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