Bonjour Yves
Bonjour Lylou Anne
Bonjour Plume
Bonjour Mo
Bonjour Pierre
Bonjour les zotres
Quand je ne suis pas d'accord du tout du tout du tout
Plume n'aime pas Paris. Diantre ! Mais comment est-ce possible ? ;o)
Ce ne sera pas un scoop pour celles et ceux qui me lisent souvent : j'adore Paris, c'est mon coup de coeur perpétuel, ma fierté ébahie de tant de beauté, mon luxe essentiel, mon bonheur et, en bonne partie, le sens de ma vie. Paris, c'est une évidence depuis l'enfance, une volonté farouche d'y vivre une fois adulte, volonté qui a orienté bien des choix. Je ne voudrais pas vivre ailleurs... Ou alors très loin et temporairement, dans une ville très grande, très différente... autre langue, autres gens, autres goûts, autre climat.
Quant à toucher les portes pour les franchir, je ne vois pas trop le problème : les poignées sont a priori faites pour ça de même que les poignets pour les actionner.
Quand je pourrais devenir cardiaque (pour moins que ça)
Apparemment, Mo et moi partageons au moins un vilain défaut. Même si j'adore la chanteuse Clarika et notamment les deux chansons citées (Le joker et Les garçons dans les vestiaires dont j'ai déjà parlé sur ce blog), je vous mentirais si je prétendais que c'est à cause de ça que je vous suggère de cliquer ici.
Quand l'affiche du 63e festival de Cannes ne déplait pas qu'à moi Un cannois désapprouve (Lylou Anne aussi) et fait un parallèle pas idiot avec une pub connue. J'approuve d'autant plus que je trouve la photo très moche et le rapport avec le cinéma d'autant moins évident que je n'avais pas du tout reconnu Juliette Binoche. Quant au couplet démago n'importe quoi sexiste sur "les héroïnes féminines comme représentation du mystère de l'écran", là je dis sic, soupir, consternation : on est en vraiment encore là au début du 3e millénaire ?
Quand les affiches du Festival de Cannes se suivent et ne se ressemblent pas
Via ce lien, vous pourrez vous faire une idée de la tête des affiches des différentes éditions du festival de Cannes, voir celles que vous aimez et celles que vous détestez. Celle de 2003 est particulièrement bâclée et laide...
Quand un polar se déroule en Haïti
Haïti ne m'a jamais attirée sur le plan touristique (la République Dominicaine non plus). En revanche, depuis que j'ai vu un certain reportage consacré à l'éradication programmée de ses cochons par les USA afin de mieux asseoir leur emprise sur l'île située juste en face de Cuba, j'ai une affection toute théorique et une curiosité ethnologique (certes limitée mais) bienveillante pour ses habitant(e)s que le récent tremblement de terre qui leur est tombé dessus n'a fait que renforcer.
Après avoir lu le réjouissant et passionnant Pays sans chapeau de Dany Laferrière dont j'ai parlé ici, la tentation est très forte de découvrir Tonton Clarinette de Nick Stone, un polar conseillé par Yv qui se déroule à Port-au-Prince.
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3 commentaires:
Plume et Mo, j'avais vu, mais je découvre la photo du festival : beurk !
on est d'accord : beurk
Je ne suis pas tellement plus attiré par Haïti que toi, mais Tonton Clarinette, outre l'enquête policière, raconte les us et coutumes haïtiens et une partie de l'histoire du pays. Une manière plaisante de s'instruire
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