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Certain(e)s rêvent de s'agenouiller devant le Pape, d'autres de rencontrer George Clooney ou Angelina Jolie, quelques hystériques hurlent aux concerts de Tokyo Hotel ou des Pussycat dolls, d'autres aux meetings de Royal ou Sarkozy. Je me demande ce qui est le plus grave.Ces gens là n'ont riiiiiiiiieeeeeen compris. Hier soir à la librairie Texture (Laumière - 19e), j'ai atteint une sorte d'apogée en matière de béatitude dans les bras (enfin, dans le bras droit) de Philippe Jaenada.
Alors, elle est pas belle la vie comme ils disent dans les pub pour le jambon Herta ?
Merci à mes parents, à Philippe J., à François M. (le photographe), à Nathalie C. (la metteuse en scène) d'avoir rendu possible ce moment de grâce ineffable, émouvant, grandiose et follement sensuel (ne trouvez-vous pas que tout cela évoque furieusement le duo entre Birkin et Gainsbourg sur La Décadence ?).
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13 commentaires:
Vous êtes superbes..un beau moment...il n'y a rien à ajouter..
je me demande s'il ne manque pas un fondu rose avec des coeurs en arrière plan... ah ben non, suis-je bête, on ne verrait plus les livres !
Euh....un peu eau de rose non:)) Et c'est une midinette qui te parle))
alors des étoiles et du doré ?
Mais tu vas me dire que ça fait un peu bling-bling non ?
mais non c'est bô comme cela, tout simplement... :)
(et comme je le remarquais sur mon blog, tu nous caches des choses ^^)
Et encore, Lou, ce n'est que la partie émergée de l'iceberg:))
y'en a des privilégiées, tout de même...
@ Lou : comment ça nous sommes beaux ? nous sommes magnifiques tu veux dire !
Meuh non, je ne cache rien de rien, la preuve...
@ Nathalie : tseeeeee
@ Liliba : yep !
magnifiques ! Je mesure ta béatitude… Le monsieur jaenada est un grand monsieur, en tous cas, et qui sait se marrer. La classe !
Ah, Cécile, j'en ai encore le bras droit qui vibre d'émotion... (Ce n'est pas pratique, bien sûr, je renverse la moitié de mon café, j'écris comme la grand-mère de Parkinson, je me fais mal à l'oeil chaque fois que je veux me gratter le nez, mais j'ai bien peur que ça dure quelques jours encore... (C'est bien pour se brosser les dents, cela dit.))
Je comprends Philippe, je comprends.
De mon côté (pile), je ressens des fourmillemets dans la zone médiane de mon individu.
J'ai l'impression que mon amnésie passagère postérieure au salon du livre est en train de se dissiper...
C'est marrant ça, tiens, moi cette nuit j'ai rêvé de PhJ (je dois trop lire certains blogs). Il avait un livre adapté en film (sur le coup, j'ai pensé le dernier, mais ce n'est pas sûr, ça parlait d'un homme passionné d'Afrique (Afrique : chameau?) et qui se mariait avec une jeune fille blonde (avec un bonnet). Et là, je me suis dit, avec ça, son livre va cartonner :-). Mais dans le film, la fille était sortie la nuit, et quand elle est rentrée, tôt le matin, PhJ, qui avait tendrement caliné leur bb, s'était endormi avec un peu de vomis sur lui. Et la fille s'est mise à brailler. "Quoi il a fait roter le bb à 5h00 du mat??" Alors, là je me suis dit, ça doit pas être facile de vivre avec un écrivain, il raconte toute votre vie privée. Donc tu vois Cécile, je ne t'envie pas plus que ça :-).
lol eh bien ! Tu as des nuits mouvementées !
de ce point de vue là je ne suis pas certaine que ce soit plus facile de vivre avec u(e) blogger/euse.
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