Bonjour aux zotres
Florence est une ville éminemment religieuse mais aussi pragmatique car ce n'est pas demain la ville qu'on y chassera les marchands du temple. Même le sous-sol de la cathédrale est transformé en boutique et si les photos sont interdites dans la plupart des musées et églises, on sent que c'est moins pour protéger les oeuvres que pour vendre quelques livres et cartes de plus.
En pleine journée, la halle couverte derrière le sanglier est bondée de stands vendant du cuir, des tee-shirts, cartes postales autres souvenirs pour touristes. Le lieu grouille de monde.
Il suffit de glisser sa main dans la gueule dégoulinante d'eau du cochon sauvage et de frotter une pièce de monnaie à l'intérieur avant de la lâcher.
5 commentaires:
A ce moment-là, le cochon rose était sobre...
Mais l'histoire ne dit pas si notre grande voyageuse l'était, elle !
@ DF : heu, je ne pense pas... avec un peu plus de lucidité il n'aurait sûrement pas escaladé ce cousin sauvage avec tant de hardiesse et il aurait sans doute réussi comme moi le test de la pièce !
@ Liliba : Farpaitement ! La preuve par le test de la pièce...
@ Liliba : je n'ai bu qu'après pour arroser la nouvelle !
Et bien moi chaque fois que vais à Florence, je le fais le test de la pièce (bien que comblèdement zobre!) et ça marche!
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