Bonjour aux accros aux chaussures
Bonjour aux gagas de ballerines
Bonjours aux perché(e)s de talons
Bonjour aux zotres
J'ai depuis quelques mois un usage intensif de Zalando, Sarenza et Yoox. Surtout Zalando en fait !
Sur ce dernier site, j'ai récemment découvert avec ébahissement cette paire de ballerines de la marque Etro qui, initialement, coûtaient la modique somme de 360 euros. Soldées à 40 %, elles valent encore 215 euros, prix que je peux concevoir pour une paire de chaussures fermées et à talons mais côté ballerines mon budget ne dépasse jamais les 30/40 euros.
Pour moi les ballerines ce sont un peu des tongs améliorées, pas tout à fait des "vraies" chaussures...
Mais bon, il y a l'argument porcin ! A moins que ce ne soit un contre-argument : quand et avec quoi les porterais-je si...
Bref, quand retrouverai-je des chaussures aussi cochonnes que celles-ci ?
jeudi 27 juin 2013
lundi 24 juin 2013
lundi 17 juin 2013
La tâche (de Philip Roth)
Bonjour à celles et ceux qui ont mangé des spaghetti bolognaises en portant un haut blanc ce midi
Bonjour aux zotres
J'ai écrit ce qui suit le 18 mars 2005 et n'ai fait que supprimer des passages personnels, remanié et complété quelque peu le reste pour le diffuser sur ce blog. Après avoir lu 7 livres de Philip Roth, celui-ci reste de très loin mon préféré au point de mériter un coup de coeur.
Mon avis
La tache est un livre en tous points remarquables (fond, forme, style). Je partais pourtant avec un a priori très défavorable après avoir lu Le sein que j'ai détesté et avoir abandonné La contrevie au bout de 50 pages pour cause de nombrilisme-intellectuello-narcisso-complexo-judao-new-yorko-chiant...
La Tache a obtenu le prix Medicis du roman étranger en 2002 ce qui n'est pas nécessairement une preuve de qualité mais pas non plus une preuve du contraire.
Je ne sais pas quel est le livre de Roth considéré comme le plus représentatif ou son plus personnel (Portnoy et son complexe disent certains). Je sais que certains ont fait quelques remous... Je ne sais pas non plus celui qui est jugé comme son "meilleur" mais je ne suis pas forcément partisane de conseiller de commencer par le meilleur d'un auteur car que reste-il ensuite, hein ? Et puis cette notion est très suggestive...
Ce livre m'a fait penser à...
Les trois romans auxquels je vais faire allusion dans les lignes suivantes sont également trois ouvrages que je vous recommande d'ouvrir ASAP comme disent nous zami(e)s anglo-saxon(ne)s.
J'ai lu Leviathan de Paul Auster il y a très longtemps et j'avais adoré et les similitudes sont nombreuses avec La tache . Ca raconte un peu la même chose et de la même façon...
Un narrateur raconte par notes successives et en laissant certaines zones d'ombre et certaines interrogations en suspens, la vie d'un homme qu'il a connu et dont il apprend fortuitement qu'il avait un secret avec un entrelac de flash backs et de réflexions sur "l'Amérique d'aujourd'hui", sur fond d'affaire Levinski dans le cas de la Tache (mais ce n'est pas du tout le centre du livre, juste un fil rouge qui donne lieu à quelques réflexions sur l'état du monde... d'un certain monde).
Le portrait du héros, Coleman Silk, se dévoile peu à peu, mettant à jour toutes les ambiguités, toute la complexité du personnage. C'est magistralement structuré sur la forme et profondément intéressant sur le fond.
D'une certaine manière, pour cette analyse de l'état de l'Amérique, pour cette réflexion sur le comment et le pourquoi des choses, sur leur absurdité aussi et sur la logique de la haine et de la bêtise ou de la folie qu'elle suscite, ça m'a aussi un peu rappelé l'excellent Chien Blanc de Romain Gary...
Pour le milieu universitaire et certaines problématiques évoquées, j'ai aussi songé à Le problème avec Jane de Catherine Cusset.
Un lien
Je vous conseille l'excellente analyse du livre que propose un cahier bleu. Je comprends la remarque sur le côté bavard du livre : c'est ce qui m'avait tant dérangée dans La contrevie mais qui, dans La Tâche, prend toute sa signification.
Conclusion
Un livre intelligent, subtil, fort, réfléchi et faisant réfléchir... J'aime ça chez les hommes, j'aime ça dans les romans.
Bonjour aux zotres
J'ai écrit ce qui suit le 18 mars 2005 et n'ai fait que supprimer des passages personnels, remanié et complété quelque peu le reste pour le diffuser sur ce blog. Après avoir lu 7 livres de Philip Roth, celui-ci reste de très loin mon préféré au point de mériter un coup de coeur.
Mon avis
La tache est un livre en tous points remarquables (fond, forme, style). Je partais pourtant avec un a priori très défavorable après avoir lu Le sein que j'ai détesté et avoir abandonné La contrevie au bout de 50 pages pour cause de nombrilisme-intellectuello-narcisso-complexo-judao-new-yorko-chiant...
La Tache a obtenu le prix Medicis du roman étranger en 2002 ce qui n'est pas nécessairement une preuve de qualité mais pas non plus une preuve du contraire.
Je ne sais pas quel est le livre de Roth considéré comme le plus représentatif ou son plus personnel (Portnoy et son complexe disent certains). Je sais que certains ont fait quelques remous... Je ne sais pas non plus celui qui est jugé comme son "meilleur" mais je ne suis pas forcément partisane de conseiller de commencer par le meilleur d'un auteur car que reste-il ensuite, hein ? Et puis cette notion est très suggestive...
Ce livre m'a fait penser à...
Les trois romans auxquels je vais faire allusion dans les lignes suivantes sont également trois ouvrages que je vous recommande d'ouvrir ASAP comme disent nous zami(e)s anglo-saxon(ne)s.
J'ai lu Leviathan de Paul Auster il y a très longtemps et j'avais adoré et les similitudes sont nombreuses avec La tache . Ca raconte un peu la même chose et de la même façon...
Un narrateur raconte par notes successives et en laissant certaines zones d'ombre et certaines interrogations en suspens, la vie d'un homme qu'il a connu et dont il apprend fortuitement qu'il avait un secret avec un entrelac de flash backs et de réflexions sur "l'Amérique d'aujourd'hui", sur fond d'affaire Levinski dans le cas de la Tache (mais ce n'est pas du tout le centre du livre, juste un fil rouge qui donne lieu à quelques réflexions sur l'état du monde... d'un certain monde).
Le portrait du héros, Coleman Silk, se dévoile peu à peu, mettant à jour toutes les ambiguités, toute la complexité du personnage. C'est magistralement structuré sur la forme et profondément intéressant sur le fond.
D'une certaine manière, pour cette analyse de l'état de l'Amérique, pour cette réflexion sur le comment et le pourquoi des choses, sur leur absurdité aussi et sur la logique de la haine et de la bêtise ou de la folie qu'elle suscite, ça m'a aussi un peu rappelé l'excellent Chien Blanc de Romain Gary...
Pour le milieu universitaire et certaines problématiques évoquées, j'ai aussi songé à Le problème avec Jane de Catherine Cusset.
Un lien
Je vous conseille l'excellente analyse du livre que propose un cahier bleu. Je comprends la remarque sur le côté bavard du livre : c'est ce qui m'avait tant dérangée dans La contrevie mais qui, dans La Tâche, prend toute sa signification.
Conclusion
Un livre intelligent, subtil, fort, réfléchi et faisant réfléchir... J'aime ça chez les hommes, j'aime ça dans les romans.
lundi 10 juin 2013
Le pendule de Foucault (d'Umberto Eco)
Bonjour à celles et ceux qui ont aimé ce roman culte
Bonjour à celles et ceux qui ne l'ont pas lu
Bonjour à celles et ceux qui, comme moi, sont passé(e)s à côté
Bonjour aux zotres
Forte d'une lecture plus qu'appréciée du Nom de la rose du même auteur et du conseil d'un mien ami pour qui Le pendule de Foucault était un livre culte, j'ai entrepris la lecture de ce dernier peu après sa sortie en poche et je me demande comment j'ai pu aller jusqu'au bout de cette interminable boursouflure d'ego d'érudit.
Le sujet (sur le site de l'Express)
Le Pendule de Foucault est un livre initiatique ou plutôt anti-initiatique et anti-ésotérique d’Umberto Eco. Roman d’aventure, ovni littéraire, Le Pendule de Foucault est la longue dissertation d’un homme qui, par passion des mystères hermétiques, puis par jeu, imagine avec deux collègues, un Plan Mondial organisé pour diriger le monde Au fil des nombreuses pages et des longues digressions (récit de l’Italie en guerre, de l’Italie en reconstruction, des batailles des Templiers), avec un humour féroce, de l’imagination, et de l’érudition, il écrit une œuvre inclassable. L’origine du titre de ce livre vient de la célèbre expérience de physique connue sous le nom d’expérience du pendule de Foucault, et qui constitue pour certains fanatiques d’ésotérisme et d’occultisme de l’ouvrage le seul et unique indicateur du point fixe de l’univers.
Mon avis
Le 8 janvier 2005 j'ai écrit ce qui suit à propos de ce roman :
J'ai beaucoup apprécié la lecture du Nom de la Rose mais déjà j'ai regretté la non traduction des citations latines qui jalonnent le livre. Bien sûr elles ne sont pas nécessaires à la lecture du livre et encore moins à la compréhension de l'intrigue mais je trouve que ce parti pris de ne pas traduire ces paragraphes (et donc qu'ils ne soient pas compris par 95 voire 99% des lecteurs) très symptômatique d'un manque total de générosité (voire de respect ? vis à vis du lecteur) que Le Pendule de Foucault n'a fait que confirmer dans des limites qui, cette fois, dépassaient largement le suportable.
L'érudition de Umberto Eco ne fait aucun doute mais sa volonté de la partager est nettement plus discutable que son aptitude à la montrer. Selon moi, quand on publie un livre, c'est qu'on a la volonté de partager le fruit de son travail et pour partager il faut avoir la volonté de communiquer dans un langage un minimum intelligible ce qui n'est pas la préoccupation de l'auteur du Pendule de Foucault, ouvrage qui, toutes choses égales par ailleurs m'a profondément ennuyée et que j'ai refermé à la dernière page avec un soupir de soulagement mélé d'incrédulité : "ouf, tout ça pour ça !!!!?"
Le Pendule de Foucault ce serait un peu un Code Vinci intelligent, exempt de toutes les ambiguités, inexactitudes et à peu près du mauvais livre de Dan Brown, débarbouillé des insupportables pseudo rebondissements à deux balles à toutes les pages mais hélas trop pompeux, embrouillé et abstrait pour être intéressant. On m'avait dit "tu verras après les 60 premières pages (puis les 100 premières !) ça va mieux, l'intrigue démarre et c'est passionnant". Aux 10 dernières pages de ce pavé j'en étais encore à chercher l'intrigue et je ne suis pas sûre que le dernier mot apporte un réel dénouement. Bref, le livre m'a laissé un sentiment d'ennui teinté de frustration et je ne souhaite ça à personne.
Conclusion
En conclusion : "le nom de la Rose" : foncez, "Le Pendule de Foucault" : évitez. Quant à moi je me suis abstenue d'ouvrir tout autre livre d'Eco depuis une dizaine d'années et je pense que je me tenir à cette abstinence quelques lustres encore. Là où je me déçois vraiment c'est de n'être jamais allée faire un tour au musée du CNAM pour voir ce fameux Pendule mais il n'est pas trop tard n'est-ce pas...
Quelques liens utiles (ou pas ?)
Wikipedia
L'Express
Orpheo Mundi considère ce roman comme un chef d'oeuvre
Bonjour à celles et ceux qui ne l'ont pas lu
Bonjour à celles et ceux qui, comme moi, sont passé(e)s à côté
Bonjour aux zotres
Forte d'une lecture plus qu'appréciée du Nom de la rose du même auteur et du conseil d'un mien ami pour qui Le pendule de Foucault était un livre culte, j'ai entrepris la lecture de ce dernier peu après sa sortie en poche et je me demande comment j'ai pu aller jusqu'au bout de cette interminable boursouflure d'ego d'érudit.
Le sujet (sur le site de l'Express)
Le Pendule de Foucault est un livre initiatique ou plutôt anti-initiatique et anti-ésotérique d’Umberto Eco. Roman d’aventure, ovni littéraire, Le Pendule de Foucault est la longue dissertation d’un homme qui, par passion des mystères hermétiques, puis par jeu, imagine avec deux collègues, un Plan Mondial organisé pour diriger le monde Au fil des nombreuses pages et des longues digressions (récit de l’Italie en guerre, de l’Italie en reconstruction, des batailles des Templiers), avec un humour féroce, de l’imagination, et de l’érudition, il écrit une œuvre inclassable. L’origine du titre de ce livre vient de la célèbre expérience de physique connue sous le nom d’expérience du pendule de Foucault, et qui constitue pour certains fanatiques d’ésotérisme et d’occultisme de l’ouvrage le seul et unique indicateur du point fixe de l’univers.
Mon avis
Le 8 janvier 2005 j'ai écrit ce qui suit à propos de ce roman :
J'ai beaucoup apprécié la lecture du Nom de la Rose mais déjà j'ai regretté la non traduction des citations latines qui jalonnent le livre. Bien sûr elles ne sont pas nécessaires à la lecture du livre et encore moins à la compréhension de l'intrigue mais je trouve que ce parti pris de ne pas traduire ces paragraphes (et donc qu'ils ne soient pas compris par 95 voire 99% des lecteurs) très symptômatique d'un manque total de générosité (voire de respect ? vis à vis du lecteur) que Le Pendule de Foucault n'a fait que confirmer dans des limites qui, cette fois, dépassaient largement le suportable.
L'érudition de Umberto Eco ne fait aucun doute mais sa volonté de la partager est nettement plus discutable que son aptitude à la montrer. Selon moi, quand on publie un livre, c'est qu'on a la volonté de partager le fruit de son travail et pour partager il faut avoir la volonté de communiquer dans un langage un minimum intelligible ce qui n'est pas la préoccupation de l'auteur du Pendule de Foucault, ouvrage qui, toutes choses égales par ailleurs m'a profondément ennuyée et que j'ai refermé à la dernière page avec un soupir de soulagement mélé d'incrédulité : "ouf, tout ça pour ça !!!!?"
Le Pendule de Foucault ce serait un peu un Code Vinci intelligent, exempt de toutes les ambiguités, inexactitudes et à peu près du mauvais livre de Dan Brown, débarbouillé des insupportables pseudo rebondissements à deux balles à toutes les pages mais hélas trop pompeux, embrouillé et abstrait pour être intéressant. On m'avait dit "tu verras après les 60 premières pages (puis les 100 premières !) ça va mieux, l'intrigue démarre et c'est passionnant". Aux 10 dernières pages de ce pavé j'en étais encore à chercher l'intrigue et je ne suis pas sûre que le dernier mot apporte un réel dénouement. Bref, le livre m'a laissé un sentiment d'ennui teinté de frustration et je ne souhaite ça à personne.
Conclusion
En conclusion : "le nom de la Rose" : foncez, "Le Pendule de Foucault" : évitez. Quant à moi je me suis abstenue d'ouvrir tout autre livre d'Eco depuis une dizaine d'années et je pense que je me tenir à cette abstinence quelques lustres encore. Là où je me déçois vraiment c'est de n'être jamais allée faire un tour au musée du CNAM pour voir ce fameux Pendule mais il n'est pas trop tard n'est-ce pas...
Quelques liens utiles (ou pas ?)
Wikipedia
L'Express
Orpheo Mundi considère ce roman comme un chef d'oeuvre
jeudi 6 juin 2013
Boire un apéro (en admirant un coucher de soleil sur la Tour Eiffel)
Bonjour aux fans des rooftops
Bonjour aux zotres
De Télérama au Figaroscope en passant par tout ce que le net compte de sites dédiés aux sorties, bars, restos, les adresses parisiennes de terrasses sur les toits se multiplient et deviennent de moins en moins confidentielles.
Certaines ne sont accessibles que l'été et c'est le plein moment d'en profiter ! Quoi de mieux que de siroter un verre loin des bruits de circulation avec une vue dégagée sur les plus beaux monuments parisiens.
L'une de ces adresses où il fait bon déguster un mojito ou un verre de chateau Minuty les yeux rivés sur le ciel et les variations de couleurs qui nimbent la Tour Eiffel est le dernier étage du Novotel Vaugirard situé au 257 de la rue, c'est à dire, selon le point de repère qui vous semblera le plus parlant :
- en face du commissariat du 15e
- en face du siège de l'UMP
- presque en face du métro Vaugirard
L'endroit est ouvert d'avril à septembre de 17h à 01h du matin.
Quelques zotres zadresses ici : ici
Bonjour aux zotres
De Télérama au Figaroscope en passant par tout ce que le net compte de sites dédiés aux sorties, bars, restos, les adresses parisiennes de terrasses sur les toits se multiplient et deviennent de moins en moins confidentielles.
Certaines ne sont accessibles que l'été et c'est le plein moment d'en profiter ! Quoi de mieux que de siroter un verre loin des bruits de circulation avec une vue dégagée sur les plus beaux monuments parisiens.
L'une de ces adresses où il fait bon déguster un mojito ou un verre de chateau Minuty les yeux rivés sur le ciel et les variations de couleurs qui nimbent la Tour Eiffel est le dernier étage du Novotel Vaugirard situé au 257 de la rue, c'est à dire, selon le point de repère qui vous semblera le plus parlant :
- en face du commissariat du 15e
- en face du siège de l'UMP
- presque en face du métro Vaugirard
L'endroit est ouvert d'avril à septembre de 17h à 01h du matin.
Quelques zotres zadresses ici : ici
mercredi 5 juin 2013
D'après la Vague de Hokusai (détournement 23-2013)
Je ne peux toujours pas faire de mise en forme.
Ce n'est pas la première fois que je fais référence à cette fameuse vague dans cette série sur les détournements artistiques. En voici une nouvelle version faite en Rubik's cube !
http://parifuni.over-blog.com/article-le-1000-eme-space-invader-76395126.html
Ce n'est pas la première fois que je fais référence à cette fameuse vague dans cette série sur les détournements artistiques. En voici une nouvelle version faite en Rubik's cube !
http://parifuni.over-blog.com/article-le-1000-eme-space-invader-76395126.html
samedi 1 juin 2013
Tout est une question de confiance (en soi !)
Bonjour aux petit(e)s et grand(e)s gourmand(e)s
Bonjour aux zotres
Depuis une certaine pub gourmande des années 90, tout le monde sait que c'est important de ne pas trahir la confiance que tes parents ils zont mis à l'intérieur de toi...
Bonjour aux zotres
Depuis une certaine pub gourmande des années 90, tout le monde sait que c'est important de ne pas trahir la confiance que tes parents ils zont mis à l'intérieur de toi...
Libellés :
Autour de la pub,
Autour des enfants,
Video
Inscription à :
Articles (Atom)