Bonjour aux cinéphiles
Bonjour aux Jedi
Bonjour aux personnes fluent en enghiche
Bonjour aux zotres
jeudi 30 mai 2013
dimanche 26 mai 2013
Sélection bloguesque (de la semaine 21-2013)
Bonjour aux tatoué(e)s
Bonjour Christelle
Bonjour aux berlinois(es)
Bonjour aux zotres
Cliquer sur le mot quand pour accéder aux messages et photos d'origine
http://www.spi0n.com/lesya-tattoo-visage-rouslan-toumaniantz/
Quand l'amour rend folle...
... et défigure.
Tant de bêtise fait froid dans le dos.
http://blog.super-marmite.com/2011/02/christelle-nous-guide-rue-sainte-marthe/
Quand on cherche où dîner tranquillement pendant l'été
La rue Sainte Marthe et la place du même nom se situent dans le 10e arrondissement et offrent une ribambelle de restos et bars sympathiques parfois avec des terrasses qui le sont encore plus car l'endroit est dépourvu de voitures. C'est tranquille, dépaysant, plutôt babacool, bon enfant et parfois, c'est même bon !
Je conseille notamment le 10e degré pour ses rhums arrangés et assiettes de tapas et le Sainte Marthe, resto dont l'immense terrasse sur la place est une des plus agréables de Paris à mon avis
http://search.dilbert.com/search?p=Q&srid=S3-USWSD02&lbc=dilbert&ts=custom&w=Confidence&uid=177763813&method=and&isort=date&view=list&filter=type%3acomic&srt=24
Quand Dilbert redéfinit la confiance
J'adore l'univers de Scott Adams et les aventures professionnelles de son anti-héros geek Dilbert. C'est plein de bon sens, de causticité, c'est fin et désabusé. C'est caricatural certes mais si proche du réel parfois. C'est sociologiquement passionnant et c'est drôle.
Le dessin qui illustre ce mail n'est pas le plus drôle de la série mais c'est un hommage au Kikimundo et à Escargolio.
PS : je ne peux faire aucune mise en page pour le moment :(
Bonjour Christelle
Bonjour aux berlinois(es)
Bonjour aux zotres
Cliquer sur le mot quand pour accéder aux messages et photos d'origine
http://www.spi0n.com/lesya-tattoo-visage-rouslan-toumaniantz/
Quand l'amour rend folle...
... et défigure.
Tant de bêtise fait froid dans le dos.
http://blog.super-marmite.com/2011/02/christelle-nous-guide-rue-sainte-marthe/
Quand on cherche où dîner tranquillement pendant l'été
La rue Sainte Marthe et la place du même nom se situent dans le 10e arrondissement et offrent une ribambelle de restos et bars sympathiques parfois avec des terrasses qui le sont encore plus car l'endroit est dépourvu de voitures. C'est tranquille, dépaysant, plutôt babacool, bon enfant et parfois, c'est même bon !
Je conseille notamment le 10e degré pour ses rhums arrangés et assiettes de tapas et le Sainte Marthe, resto dont l'immense terrasse sur la place est une des plus agréables de Paris à mon avis
http://search.dilbert.com/search?p=Q&srid=S3-USWSD02&lbc=dilbert&ts=custom&w=Confidence&uid=177763813&method=and&isort=date&view=list&filter=type%3acomic&srt=24
Quand Dilbert redéfinit la confiance
J'adore l'univers de Scott Adams et les aventures professionnelles de son anti-héros geek Dilbert. C'est plein de bon sens, de causticité, c'est fin et désabusé. C'est caricatural certes mais si proche du réel parfois. C'est sociologiquement passionnant et c'est drôle.
Le dessin qui illustre ce mail n'est pas le plus drôle de la série mais c'est un hommage au Kikimundo et à Escargolio.
PS : je ne peux faire aucune mise en page pour le moment :(
samedi 25 mai 2013
Curiosity (kills the cat)
Bonjour aux zheureu(ze)x propriétaires de chat(te)s
Bonjour aux zotres
J'ai trouvé cette video de 20 secondes sur Facebook et je l'adore !
Mais je me pose une question : comment un chat peut-il être suffisamment stupide pour fouiller pendant que ses maîtres sont à la maison, hein ?
Bonjour aux zotres
J'ai trouvé cette video de 20 secondes sur Facebook et je l'adore !
Mais je me pose une question : comment un chat peut-il être suffisamment stupide pour fouiller pendant que ses maîtres sont à la maison, hein ?
vendredi 24 mai 2013
On n'est jamais préparé(e) (à découvrir Berlin)
Alo aux Berlinois(e)s
Pensée pour toutes les victimes de la seconde guerre mondiale
Guten Tag aux zotres
Je regarde sur le chaîne ZDF un reportage sur le printemps 1945. A l'écran, des soldats allemands faits prisonniers par l'armée US sourient à la caméra. Pour eux l'enfer est fini et ils y ont survécu. Un peu plus tard, même chose dans une colonne de civil(e)s évacué(e)s de Hambourg. Certains regards sont hagards, d'autres visiblement soulagés.
Face à cette vision côté allemand de la fin de la seconde guerre mondiale mon regard et mon esprit de française toujours fascinée par la 2e guerre mondiale sont d'autant plus à l'affut que je suis à Berlin, ville que je découvre enfin et où les moments les plus tragiques de l'histoire du 20e siècle se lisent à chaque coin de rue ou presque.
Et puis, quelques minutes plus tard, le reportage montre des images de la libération des camps nazis et c'est une autre histoire qui, soudainement, glace le sang et les sens et relativise considérablement la dimension tragique de la bataille de Berlin. Même si je sais très objectivement qu'il est absurde de hiérarchiser voire d'opposer les souffrances, je sens subjectivement qu'elles ne sont ni de même nature, ni de même ampleur. Dans le reportage, est cité quelqu'un dont j'ai oublié le nom qui a dit en substance qu'il était dans l'ordre des choses que la guerre fasse des morts mais que rien ne justifie et ne prépare à la vision des morts vivants dans les camps.
Sur l'ordre de l'armée de Patton un millier d'habitant(e)s de Weimar ont ordre de se rassembler (près de la gare si j'ai bien compris le commentaire allemand) et après une marche de 10 km où on voit certain(e)s d'entre eux saluer la caméra, pas vraiment (ou pas du tout ?) conscient(e)s de ce qui les attend, ils arrivent dans ce qui reste de Buchenwald, confronté(e)s à l'horreur absolue des camps.
Comment ces allemand(e)s "bien nourri(e)s et bien habillé(e)s" (ce qui semble être une circonstance aggravante de plus aux yeux stupéfaits des américains) pouvaient-ils/elles ne pas savoir ? Voilà une question qui, d'après ce que je sais de cette histoire là, n'a pas encore trouvé de réponse.
Alors bien sûr, j'irai visiter le magnifique Reichstag (en ruines sur la 2e photo) reconstruit pour la plus grande fierté des berlinois(es) et je monterai dans son dôme de verre et d'acier pour admirer le bâtiment et la vue, bien sûr je prendrai plaisir à profiter de chaque moment dans cette ville captivante et dynamique où chaque pierre raconte un morceau d'histoire contemporaine.
Mais je ne me ferai pas prendre en photo avec ces jeunes déguisés avec des uniformes de soldats et brandissant des drapeaux russes ou américains qui, contre 1 ou 2 euros se font prendre en photo avec les touristes devant la porte de Brandebourg. Je trouve même que c'est une vision dérangeante. Comprennent-ils la gravité de leur propre histoire ?
Pensée pour toutes les victimes de la seconde guerre mondiale
Guten Tag aux zotres
Je regarde sur le chaîne ZDF un reportage sur le printemps 1945. A l'écran, des soldats allemands faits prisonniers par l'armée US sourient à la caméra. Pour eux l'enfer est fini et ils y ont survécu. Un peu plus tard, même chose dans une colonne de civil(e)s évacué(e)s de Hambourg. Certains regards sont hagards, d'autres visiblement soulagés.
Face à cette vision côté allemand de la fin de la seconde guerre mondiale mon regard et mon esprit de française toujours fascinée par la 2e guerre mondiale sont d'autant plus à l'affut que je suis à Berlin, ville que je découvre enfin et où les moments les plus tragiques de l'histoire du 20e siècle se lisent à chaque coin de rue ou presque.
Et puis, quelques minutes plus tard, le reportage montre des images de la libération des camps nazis et c'est une autre histoire qui, soudainement, glace le sang et les sens et relativise considérablement la dimension tragique de la bataille de Berlin. Même si je sais très objectivement qu'il est absurde de hiérarchiser voire d'opposer les souffrances, je sens subjectivement qu'elles ne sont ni de même nature, ni de même ampleur. Dans le reportage, est cité quelqu'un dont j'ai oublié le nom qui a dit en substance qu'il était dans l'ordre des choses que la guerre fasse des morts mais que rien ne justifie et ne prépare à la vision des morts vivants dans les camps.
Sur l'ordre de l'armée de Patton un millier d'habitant(e)s de Weimar ont ordre de se rassembler (près de la gare si j'ai bien compris le commentaire allemand) et après une marche de 10 km où on voit certain(e)s d'entre eux saluer la caméra, pas vraiment (ou pas du tout ?) conscient(e)s de ce qui les attend, ils arrivent dans ce qui reste de Buchenwald, confronté(e)s à l'horreur absolue des camps.
Comment ces allemand(e)s "bien nourri(e)s et bien habillé(e)s" (ce qui semble être une circonstance aggravante de plus aux yeux stupéfaits des américains) pouvaient-ils/elles ne pas savoir ? Voilà une question qui, d'après ce que je sais de cette histoire là, n'a pas encore trouvé de réponse.
Alors bien sûr, j'irai visiter le magnifique Reichstag (en ruines sur la 2e photo) reconstruit pour la plus grande fierté des berlinois(es) et je monterai dans son dôme de verre et d'acier pour admirer le bâtiment et la vue, bien sûr je prendrai plaisir à profiter de chaque moment dans cette ville captivante et dynamique où chaque pierre raconte un morceau d'histoire contemporaine.
Mais je ne me ferai pas prendre en photo avec ces jeunes déguisés avec des uniformes de soldats et brandissant des drapeaux russes ou américains qui, contre 1 ou 2 euros se font prendre en photo avec les touristes devant la porte de Brandebourg. Je trouve même que c'est une vision dérangeante. Comprennent-ils la gravité de leur propre histoire ?
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